 | Eduard Adolf Ferdinand Maetzner - 1845 - 476 pages
...oreille de Fombre écoute le tilence. LEGOUVÉ. Qui du vaste univers embrasse la structure. DEULLE. Tout- à -coup des accents inconnus à la terre Du rivage charmé frappèrent les échos. LAMARTINE. Sa voix a d'isembure avoué l'innocence. PARSEVAL.GRANDMAISON. Pendant que du dieu il' At... | |
 | Eduard Adolf Ferdinand Maetzner - 1845 - 480 pages
...l'ombre écoute le silence. LEGOUVÉ. Qui Л vaste univers embrasse la structure. DELILLE. Tout-à-coup des accents inconnus à la terre Du rivage charmé frappèrent les échos. LAMARTINE. Sa voix a d'isembure avoué tinnouna PARSEVAL-GRANDMAISON. Pendant que du dieu d' Àthaae... | |
 | Alphonse de Lamartine - 1847 - 422 pages
...brisais sur leurs flancs déchirés ; Ainsi le vent jetait l'écume de tes ondes Sur ses pieds adorés. Un soir, t'en souvient-il? nous voguions en silence...en cadence Tes flots harmonieux. Tout à coup des accens inconnus à la terre Du rivage charmé frappèrent les échos : Le flot fut atlentif , et la... | |
 | Humphry William Freeland - 1848 - 220 pages
...ondes Sur ses pieds adorés. Un soir, t'en souvient-il ? nous voguions en silence ; On n'entendoit au loin, sur l'onde et sous les cieux, Que le bruit des rameurs qui frappoient en cadence Tes flots harmonieux. Tout-à-coup des accents inconnus à la terre Du rivage... | |
 | Alexandre Rodolphe Vinet - 1849 - 680 pages
...souvient-il? nous voguions en silence; On n'entendail au loin, sur l'onde el sous les cieux, Que le bruil des rameurs qui frappaient en cadence Tes flots harmonieux. Tout à coup des accents inconnus à la lerre Du rivage charmé frappèrent les échos : Le flot fut attentif, et la voix qui m'est chère... | |
 | 1849 - 768 pages
...demandant au Temps de s'arrêter pour éterniser teur bonheur. Le prélude, d'abord : Un soir, t'eu souvient-il, nous voguions en silence; On n'entendait au loin , sur l'onde et sous tes cieux Que le bruit des rameurs qui frappaient en cadence Tes flots harmonieux. Ecoulez maintenant... | |
 | Louis Quicherat - 1850 - 600 pages
...différents, l'un pour le récit, l'autre pour les discours. On en relira avec plaisir quelques stances : Un soir, t'en souvient-il? nous voguions en silence;...cieux , Que le bruit des rameurs qui frappaient en cadenrp Tes flots harmonieux. . Tout à coup des accents inconnus à la terre Du rivage charmé frappèrent... | |
 | Louis Quicherat - 1850 - 608 pages
...différents, l'un pour le récit, l'autre pour les discours. On en relira avec plaisir quelques stances : Un soir, t'en souvient-il? nous voguions en silence; On n'entendait au loin, sur l'onde et sous les deux , ^ue le bruit des rumeurs qui frappaient en cadenre Tes dots harmonieux. Tout à coup des accents... | |
 | Louis Quicherat - 1850 - 608 pages
...l'autre pour les disfours. On en relira avec plaisir quelques stances : Un soir, t'en son vient-il? nous voguions en silence; On n'entendait au loin, sur l'onde et sous les cieux . t,lue le bruit des rameurs qui frappaient en radenre Tes flots harmonieux. Tout à coup des accents... | |
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Un soir, t'en souvient-il ? nous voguions en silence ; On n'entendait au loin, sur l'onde et sous les cieux, Que le bruit des rameurs qui frappaient en cadence Tes flots harmonieux. 
