| Alfred G. Havet - 1863 - 508 pages
...of the ellipsis, adds to the construction words which might be omitted without injury to the sense : Je l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux vu, Ce qu'on appelle vu. — (MOLIÈRE.) A pleonasm is useful when it adds grace, strength, and elegance to the sentence : Et... | |
| P. Barrère - 1863 - 576 pages
...ce qu'il lui raconte de la perfidie de Tartufe, il cherche en vain à la désabuser de son erreur. Je l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux vu, Ce qu'on appelle vu. Allez, je ne sais pas, si vous n'étiez ma mère, Ce que je vous dirais, tant je suis en colère. Et... | |
| Molière - 1863 - 516 pages
...à répandre.; Et rien n'est ici-bas qui s'en puisse défendre. ORGON. C'est tenir un propos de sens bien dépourvu. Je l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres...crier comme quatre? MADAME PERNELLE. Mon Dieu! le plus souvent l'apparence déçoit : II ne faut pas toujours juger sur ce qu'on voit. ORGON. J'enrage! MADAME... | |
| Eduard Dobbert - 1865 - 100 pages
...Erlebte nicht glauben will. Es befriedigt herzlich , Orgon jetzt die sprichwörtlich gewordenen Worte : < Je l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux vu, ce qu'on appelle vu > vergebens sagen zu hören und über die Ungläubigkeit seiner Mutter in Wuth gerathen zu sehen ;... | |
| CHERECHEURS ET CURIEUX - 1866 - 400 pages
...parfait. Les quatre points cardinaux, les quatre saisons, les quatre membres, tiré a quatre épingles, Faut-il vous le rebattre Aux oreilles cent fois, et crier comme quatre. etc., etc. Le 3e vers de la chanson du bon roi Henri, citée par MJEG, n'est point : mais FRUITS :... | |
| Molière - 1869 - 1356 pages
...imprimée un 1616. Et rien n'est ici-bas qui s'en puisse défendre. ORGON. C'est tenir un propos de sens bien dépourvu. Je l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux vu, Ce qu'on appelle vu. Faut-il vous le rcballre Aux oreilles cent fois, et crier comme quatre? MADAME PEKNELLE. Mon Dieul le plus souvent... | |
| C. A. Chardenal - 1870 - 284 pages
...à supporter les infortunes qui nous arrivent qu'à prévoir celles qui nous peuvent arriver." 12. Je l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux vu, Ce qu'on appelle vu. — (Molière. ) 66. 1. Dp you not see ? 10. Will you not have foreseen ? 2. Did you not see? 11. Would... | |
| Gustav Ludwig Weigand - 1871 - 350 pages
...il frappe à la porte; elle Transit, pâlit, rougit, me cache en sa ruelle. Corn., le Ment., II., 5. Ce qu'on appelle vu. Faut-il vous le rebattre Aux oreilles cent fois, et crier comme quatre? Mol., le Tart., V., 3. Regarde dans ma chambre et dans ma garderobe Les portraits des Dandins: tous... | |
| Gustav Ludwig Weigand - 1871 - 336 pages
...Ces obligeants diseurs d'inutiles paroles. La répétition du même mot n'est pas répréhensible. Je l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux vu, ., ( Ce qu'on appelle vu. Mol., Le Tart, V., 3. Cromwell de ce clinquant veut s'entourer encor. • ,. , Quand je dis ce clinquant,... | |
| Gustav Gerber - 1871 - 616 pages
...tbutaine des fees (Perault, 23.): was denn freilieh auch rhetorisch verwandt werden kann, wie bei Moliere: je l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux vu, ce qu'on appelle vu; oder bei Sophocles (Antig. 763): ou'jy ij(5' oXtlrat TiXrjcrt'a, CTTJ T' oOda^ici TOTJ^ILÖV oy<Sv... | |
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