| Molière - 1846 - 688 pages
...rien n'est ici-bas qui s'en puisse défendre. ORGON. C'est tenir un propos de sens bien dépourvu, le l'ai vu , dis-je , vu , de mes propres yeux vu , Ce...comme quatre ? MADAME PERNELLE. Mon Dieu! le plus souvent l'apparence déçoit : II ne faut pas toujours juger sur ce qu'on voit. ORCON. J'enrage ! MADAME... | |
| Gabriel Surenne - 1846 - 346 pages
...uncommon in French works, as will be seen in the following lines : — " C'est tenir un propos de sens bien dépourvu Je l'ai vu, dis-je vu, de mes propres yeux vu." Chip. VI. IKBECVLAR COKSTHCCTION, Section I. PLEONASM. Again, " Moi, je voulais partir aux dépens... | |
| Louis Quicherat - 1850 - 600 pages
...porté la robe. ID. Par la sambleu, monsieur, je ne croyojs pas être Si plaisant que je suis. MOL. Je l'ai vu , dis-je , vu, de mes propres yeux vu ,...rebattre Aux oreilles cent fois, et crier comme quatre? ID. Essayons toutefois si par quelque manière Nous en viendrons à botit. Ils descendent tous deux.... | |
| Louis Quicherat - 1850 - 608 pages
...porté la robe. m. Par la sambleu, monsieur, je ne croyois pas être Si plaisant que je suis. MOL. Je l'ai vu , dis-je , vu, de mes propres yeux vu ,...rebattre Aux oreilles cent fois, et crier comme quatre? ID. Essayons toutefois si par quelque manière Nous en viendrons à bout. Ils descendent tous deux.... | |
| Molière - 1851 - 690 pages
...à répandre, Et rien n'est ici-bas qui s'en puisse défendre. ORCON. C'est tenir un propos de sens bien dépourvu. Je l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres...crier comme quatre? MADAME PERNELLE. Mon Dieu! le plus souvent l'apparence déçoit : II ne faut pas toujours juger sur ce qu'on voit. ORCON. J'enrage ! MADAME... | |
| Molière - 1667 - 816 pages
...à répandre , Et rien n'est ici-bas qui s'en puisse défendre. ORGON. C'est tenir un propos de sens bien dépourvu. Je l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux vu, Ce qu'on appelle vu. Faut-il vous le rebalire Aux oreilles cent fois , et crier comme quatre î MADAME PERNELLE. Mon Dieu ! le plus souvent... | |
| Molière - 1852 - 620 pages
...imprimée en 1GIG. Et rien n'est ici-bas qui s'en puisse défendre. ORGON. (','est tenir un propos de sens bien dépourvu. Je l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux vu, Ce qu'on appelle vu. Faut-il vous le rebaltre Aux oreilles cent fois, et crier comme quatre? MADAME PERNELLE. Mon Dieu! le plus souvent... | |
| 1853 - 494 pages
...пшЬПфег SBeife antwortet fie auf bie Betreuerungen i^reô jut 6т(1ф1 gefommenen UJÎanneê: Je l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux vu Ce qu'on appelle vu, mit allgemeinen, îaum bafyin gehörigen 9iebenôarten unb пшф! fort» ttàfyrenb, um nur п(ф!... | |
| Molière - 1854 - 756 pages
...à répandre, Et rien n'est ici-bas qui s'en puisse défendre. OEGON. C'est tenir un propos de sens l'air d'un manteau , Ou des beautésd'un point, ou...partage, Et mettre hautement notre esprit hors de PEBNELLE. Mon Dieu! le plus souvent l'apparence déçoit : II ne faut pas toujours juger sur ce qu'on... | |
| Molière - 1855 - 430 pages
...à répandre, Et rien n'est ici-bas qui s'en puisse défendre. OROON. C'est tenir un propos de sens bien dépourvu. Je l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres...oreilles cent fois, et crier comme quatre? MADAME PERNELI.E. Mon Dieu ! le plus souvent l'apparence déçoit : II ne faut pas toujours juger sur ce qu'on... | |
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