| Charles Jean Delille - 1855 - 612 pages
...point très-délicat à l'égard de celui que les astres qui roulent dans le firmament embrassent. Mais si notre vue s'arrête là, que l'imagination passe outre. Elle se lassera plus tôt de concevoir, que la nature de fournir. Tout ce que nous voyons du monde n'est qu'un trait... | |
| Victor Cousin - 1857 - 596 pages
...point très-délicat à l'égard de celui que les astres qui roulent dans le firmament embrassent. Mais si notre vue s'arrête là, que l'imagination...plutôt de concevoir que la nature de fournir. Tout le monde visible n'est qu'un trait imperceptible dans l'ample seini de la nature. Nulle idée n'en... | |
| Victor Cousin - 1857 - 596 pages
...sa haute et pleine majesté, qu'il considère celte éclatante lumière, etc. » Pascal : « Tout le monde visible n'est qu'un trait imperceptible dans...nature. Nulle idée n'en approche. Nous avons beau entier nos conceptions an dela des espaces imaginables; nous n'enfantons que des atomes, etc. » Port-Royal... | |
| Pietro Giordani - 1857 - 452 pages
...nature. Nulle idée n'approche do l'élendue de ses espaces. Nous avons beau enfler nos conceptions ; nous n'enfantons que des atomes au prix de la réalité des choses. C'est une sphére infinie, doni le centre est parlotti , la circonference nulte pari. Enfin c'est un des plus... | |
| Victor Cousin - 1857 - 596 pages
...point très-délicat à l'égard de celui que les astres qui roulent dans le flrmameut embrassent. Mais si notre vue s'arrête là, que l'imagination passe outre : elle se lasseia plutôt de concevoir que la nalure de fournir. Tout le inonde visilde n'est qu'un trait imperceptible... | |
| C Lombard de Luc - 1858 - 152 pages
...point très délicat à l'égard de celui que les astres qui roulent dans le firmament embrassent. Mais si notre vue s'arrête là, que l'imagination...plutôt de concevoir, que la nature de fournir. Tout ce que nous voyons du monde n'est qu'un trait imperceptible dans l'ample sein de la nature. Nulle idée... | |
| Blaise Pascal - 1858 - 480 pages
...point très-délicat à l'égard de celui que les astres, qui roulent dans le firmament, embrassent. Mais si notre vue s'arrête là, que l'imagination...plutôt de concevoir, que la nature de fournir. Tout le monde visible n'est qu'un trait imperceptible dans l'ample sein de la nature. Nulle idée n'en approche... | |
| Blaise Pascal - 1858 - 602 pages
...qu'un point trèsdélicat à l'égard de celui que les astres qui roulent dans le firmament embrassent. Mais si notre vue s'arrête là, que l'imagination passe outre elle se lassera plus tôt de concevoir que la nature de fournir. Tout ce monde visible n'est qu'un trait imperceptible... | |
| Alphonse Guillebert - 1858 - 356 pages
...emploient beaucoup plus souvent que nous les synonymes d'EN COMPARAISON, AU PRIX DE et AUPRÈS DE. Nous n'enfantons que des atomes AU PRIX de la réalité des choses. Pascal. Virgile, AU pnix DE lui, n'a point d'invention. BOILEAU. Sa vieillesse paraissait flétrie... | |
| Edmond Arnould - 1858 - 514 pages
...où Pascal emprunte à la géométrie une image de l'immensité. « Tout ce que nous voyons du monde n'est qu'un trait imperceptible dans l'ample sein de la nature. Nulle idée n'approche de l'étendue de ces espaces. Nous avons beau enfler nos conceptions, nous n'enfantons que... | |
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