| Léon Brunschvicg - 1927 - 400 pages
...soucis et des peines, n'approchent guère d'une âme enivrée des charmes de la contemplation.. » quoi jouissais-je enfin quand j'étais seul ? De moi,...est, de tout ce qui peut être, de tout ce qu'a de bon le monde sensible, et d'imaginable le monde intellectuel ; je rassemblai autour de moi tout ce... | |
| Léon Brunschvicg - 1927 - 400 pages
...des soucis et des peines, n'approchent guère d'une Ame enivrée des charmes de la contemplation. » quoi jouissais-je enfin quand j'étais seul ? De moi,...est, de tout ce qui peut être, de tout ce qu'a de bon le monde sensible, et d'imaginable le monde intellectuel ; je rassemblai autour de moi tout ce... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1928 - 72 pages
...de méchans quand nul n'auroit intérêt à l'être. Mais de quoi jouissois-je enfin quand j'étois seul ? De moi, de l'univers entier, de tout ce qui...monde sensible, et d'imaginable le monde intellectuel : ie rassemblois autour de moi tout ce qui pouvoit flatter mon cœur ; mes désirs étoient la mesure... | |
| Faculté des lettres et sciences humaines d'Aix (France) - 1914 - 810 pages
...fait le fond de la poésie lyrique. » Or, Rousseau avait dit, dans sa 3"" Lettre à Malesherbes : • Mais de quoi jouissais-je enfin quand j'étais seul ? de moi, de l'univers entier... j'aimais à me perdre en imagination dans l'espace : mon cœur, resserré dans les bornes des êtres,... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1974 - 242 pages
...de méchans quand nul n'auroit intérêt à l'être. Mais de quoi jouissois-je enfin quand j'étois seul ? De moi, de l'univers entier, de tout ce qui...sensible, et d'imaginable le monde intellectuel : je rassemblois autour de moi tout ce qui pouvoit flatter mon coeur, mes désirs étoient la mesure de... | |
| Ziad Elmarsafy - 2001 - 252 pages
...dont j'ai joiii n'est-il connu de tout l'univers!... Mais de quoy jouissois-je enfin quand j'étois seul? De moi, de l'univers entier, de tout ce qui...sensible, et d'imaginable le monde intellectuel: je rassemblois autour de moi tout ce qui flattoit mon cœur, mes désirs etoient la mesure de mes plaisirs.... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1926 - 250 pages
...songeraient plus à se nuire, et il n'y aurait plus de méchants quand nul n'aurait intérêt 5 à l'être. Mais de quoi jouissais-je enfin quand j'étais seul?...rassemblais autour de moi tout ce qui pouvait flatter 10 mon cœur ; mes désirs étaient la mesure de mes plaisirs. Non, jamais les plus voluptueux n'ont... | |
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