 | Molière - 1852 - 620 pages
...les jours, Qui pourroient mieux aller, prenant un autre cours; Mais, quoi qu'à chaque pas je puisse voir paroître, En courroux comme vous, on ne me voit point être; Je prends (out doucement les hommes comme ils son1 ; J'accoutume mon ame à souffrir ce qu'ils fout, Et je crois... | |
 | A. Roche - 1853 - 720 pages
...pourroient mieux aller, prenant un autre cours; Mais, quoi qu'à chaque pas je puisse voir paraître, En courroux, comme vous, on ne me voit point être ; Je prends tout doucement les hommes comme ils sont, J'accoutume mon âme à souffrir ce qu'ils font; Et je crois qu'à la cour, de même qu'à la... | |
 | Molière - 1854 - 756 pages
...pourraient mieux aller, prenant un autre cours; Mais quoi qu'à chaque pas je puisse voir paraître , ù l'on découvre quelquefois tout ce qui nous doit arriver. toutdoucement les hommes comme ils sont, J'accoutume mon âme à souffrir ce qu'ils font; Et je crois... | |
 | 1855 - 614 pages
...prenant un autre cours, Mais quoiqu'a chaque pas, je puisse voir paraître , Comme vous, en courroux, on ne me voit point être. Je prends tout doucement les hommes comme ils sont, J'accoutume mon âme à souffrir ce qu'ils font, Et je crois qu'à la cour, de même qu'à la... | |
 | Molière - 1857 - 776 pages
...pourraient mieux aller, prenant un autre cours ; Mais quoi qu'à chaque pas je puisse voir paraître, au meil leshorames comme ils sont. J'accoutume mon âme à souffrir ce qu'ils font ; Et je crois qu'à la cour,... | |
 | Molière - 1857 - 460 pages
...pourraient mieux aller prenant un autre cours; Mais, quoi qu'à chaque pas je puisse voir paraître, En courroux, comme vous, on ne me voit point être. Je prends loul doucement les hommes comme ils sont, J'accoutume mon âme à souffrir ce qu'ils font, Et je crois... | |
 | Molière - 1858 - 620 pages
...les jours, Qui pourroient mieux aller, prenant un autre cours; Mais, quoi qu'à chaque pas je puisse voir paroître, En courroux comme vous, on ne me voit...être; Je prends tout doucement les hommes comme ils sont ; J'accoutume mon ame à souffrir ce qu'ils fout, Et je crois qu'à la cour, de même qu'à la... | |
 | Jean Baptiste Poquelin de Molière - 1858 - 128 pages
...pourraient mieux aller, prenant un autre cours ; Mais, quoi qu'à chaque pas je puisse voir paraître, En courroux, comme vous, on ne me voit point être ; Je prends tout doucement les hommes comme ils sont, J'accoutume mon âme à souffrir ce qu'ils font ; Et je crois qu'à la cour, de même qu'à la... | |
 | Molière - 1858 - 360 pages
...pourraient mieux aller, prenant un autre cours; Mais, quoiqu'à chaque pas je puisse voir paraître, En courroux, comme vous, on ne me voit point être. Je prends tout doucement les hommes comme ils sont, J'accoutume mon âme à souffrir ce qu'ils font ; Et je crois qu'à la cour, de même qu'à la... | |
 | Solémy de Palmas - 1863 - 366 pages
...pourraient mieux aller, prenant un autre cours ; Mais quoi qu'à chaque pas je puisse voir paraître, En courroux, comme vous, on ne me voit point être ; Je prends tout doucement les hommes comme ils sont ; J'accoutume mon âme à souffrir ce qu'ils font, Et je crois qu'à la cour, de même qu'à la... | |
| |
En courroux, comme vous, on ne me voit point être: Je prends tout doucement les hommes comme ils sont : J'accoutume mon âme à souffrir ce qu'ils font, Et je crois qu'à la cour, de même qu'à la ville, Mon flegme est philosophe autant que votre bile. 
