 | Ambroise Guillois - 1853 - 730 pages
...Pascal : « Quand l'univers l'écraserait , l'homme serait encore plus noble que ce qui le tue, parce qu'il sait qu'il meurt; et l'avantage que l'univers a sur lui, l'univers n'en sait rien. Ainsi, toute notre dignité consiste dans la pensée. » (1) D. Il ya donc deux choses dans l'homme... | |
 | Blaise Pascal - 1854 - 480 pages
...l'homme, et sans quoi on rie peut le concevoir? » et plus loin : « Toute notre dignité consiste dans la pensée; c'est de là qu'il faut nous relever, non de l'espace et de la durée? » Est-ce Pascal ou Descartes qu'on croit entendre , quand on lit : « L'homme est visiblement fait... | |
 | pabbe henry - 1854 - 806 pages
...l'écraser. « Quand l'univers l'écraserait, l'homme serait encore plus noble que ce qui le tue , parce qu'il sait qu'il meurt ; et l'avantage que l'univers a sur lui, l'univers n'en sait rien. » Note», page 265, SUR LE PROMÉTHÉE D'ESCHYLE. Plusieurs écrivains distingués ont pensé que... | |
 | Alexandre Rodolphe Vinet - 1855 - 536 pages
...tuer. Mais quand l'univers l'écraserait, l'homme serait encore plus noble que ce qui le tue, parce qu'il sait qu'il meurt; et l'avantage que l'univers a sur lui, l'univers n'en sait rien. Ainsi toute notre dignité consiste dans la pensée. C'est de là qu'il faut nous relever, non de l'espace... | |
 | Christian Bartholmèss - 1855 - 482 pages
...Pensées : « Quand l'univers l'écraserait, l'homme serait encore plus noble que ce qui le tue, parce qu'il sait qu'il meurt; et l'avantage que l'univers a sur lui, l'univers n'en sait rien. » la théodicée spéculative pratiquée par Leibniz, se cache une sorte de théodicée commune et... | |
 | 1855 - 974 pages
...pensant... Quand l'univers l'écraserait, il serait » plus noble encore que celui qui le tue, parce qu'il sait qu'il » meurt, et l'avantage que l'univers a sur lui, l'univers n'en » sait rien... C'est de là qu'il faut nous relever et non de l'es» pace ni de la durée, » ni par conséquent de... | |
 | Alexandre Rodolphe Vinet - 1856 - 380 pages
...Mais quand l'univers l'é« craserait, l'homme serait encore plus noble que ce « qui le tue, parce qu'il sait qu'il meurt ; et l'avantage « que l'univers...l'espace « et de la durée que nous ne saurions remplir. Tra« vaillons donc à bien penser : voilà le principe de la « morale. » (II, 84.) Ce dernier mot,... | |
 | Arsène Houssaye - 1856 - 396 pages
...tuer. Mais, quand l'univers l'écraserait, l'homme se« rait encore plus noble que ce qui le tue, parce qu'il « meurt; et l'avantage que l'univers a sur lui, l'univers « n'en sait rien. Ainsi toute notre dignité consiste dans « la pensée. C'est de là qu'il faut nous relever, non de... | |
 | Victor Cousin - 1857 - 596 pages
...pensée etnVst pas indigne de ce qui l'entoure. Porl-Koyal: « Turte notre dignité consiste donc dans la pensée. C'est de là qu'il faut nous relever, non de l'espace et de la durée (P.-R. xxxiu. B. lrepart. iv, 6.)». Pascal avait écrit (Msc. p. 63) : non de l'espace et de la durée,... | |
 | Charles Bénard - 1857 - 718 pages
...fmir cette Logique que par le mot qui lui sert d'épigraphe : « Toute notre dignité consiste dans la pensée ; c'est de là qu'il faut nous relever, non de l'espace et de la durée. Travaillons donc à bien penser. » (Pascal.) MORALE. Quod vit» sectabor iler * (ÀDSoM.) NOTIONS... | |
| |
L'homme n'est qu'un roseau, le plus faible de la nature ; mais c'est un roseau pensant. Il ne faut pas que l'univers entier s'arme pour l'écraser : une vapeur, une goutte d'eau, suffit pour le tuer. Mais, quand l'univers l'écraserait, l'homme serait... 
