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PUBLIÉ PAR ORDRE DU MINISTRE DE LA GUERRE.

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La notice sur la langue et les origines berbères se trouve à la fin du quatrième volume,

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Depuis l'époque où le partage de l'empire hafside en deux principautés, celle de Tunis et celle des provinces occidentales, eut empêché l'autorité impériale d'étendre plus longtemps une ombre tutélaire sur le Djerîd, les habitants de cette région se laissaient gouverner par une junte composée de leurs cheikhs. Quelquefois, même, l'un ou l'autre de ces chefs essayait d'usurper le commandement, ainsi que cela avait déjà eu lieu avant l'arrivée des Almohades. En effet, quand Abd-el-Moumen entra en Ifrîkïa, il trouva les Beni-'r-Rend exerçant la souveraineté dans Cafsa et Castîlïa, pendant qu'Ibn-Ouatas gouvernait à Touzer et Ibn-Matrouh à Tripoli.

Notre seigneur, le sultan [Abou Yahya-] Abou-Bekr, étant demeuré l'unique représentant de la monarchie hafside, ne pouvait d'abord s'occuper du Djerîd, à cause des embarras que lui suscitèrent les princes de Tlemcen et des expéditions que les troupes

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