| Antoine Sabatier de Castres - 1772 - 470 pages
...droiture de fe rendre juftice , en écrivant à M. Berger : » J'ai fait » une grande fottife de compofer un Opéra ; » mais l'envie de travailler pour un homme » comme M. Rameau 3 m'avoit emporté. Je ne s, fongeois qu'à fon génie , & je ne m'apperce» vois pas que le mien n'eft... | |
| abbé Sabatier de Castres (Antoine), abbé Martin - 1772 - 476 pages
...droiture de fe rendre juftice , en écrivant à M. Berger : » J'ai fait » une grande fottife de compofer un Opéra ; » mais l'envie de travailler pour un homme » comme M. Rameau 3 m'avoit emporté. Je ne » fongeois qu'à fon génie j & je ne m'apperce» vois pas que le mien n'eft... | |
| abbé Antoine Sabatier de Castres - 1779 - 460 pages
...droiture de fe rendre juftice, en écrivant à M. Berger : » J'ai fait une grande fottife de » compofer un Opéra ; mais l'envie de travailler » pour un homme comme M. Rameau , m'avoir » emporté. Je ne fbngeois qu'à fon génie , » & je ne m'appercevois pas que le mien n'eft... | |
| Louis Mayeul Chaudon - 1798 - 302 pages
...scène tragique. Il a eu la modestie de l'avouer. «J'ai fait, dit-il dans ses Lettres secrètes , une grande sottise de composer un opéra ; mais l'envie de travailler pour un homme comme M. Rameau m'avoit emporté. Je ne songeois qu'à son génie, et je ne m'appercevois pas que le mien ( si tant... | |
| Louis Maïeul Chaudon - 1805 - 616 pages
...venoit-il lui-même. « J'ai fait, écrivoit-il à un de ses amis , j'ai fait une grande sottise de faire un Opéra ; mais l'envie de travailler pour un homme comme M. Rameau , m'avoit emporté : je ne songeois qu'à son génie , et je ne m'appercevois pas que le mien n'est... | |
| Voltaire - 1808 - 476 pages
...sui» trop heureux d'avoir un ami comme vous. Les autres se contentent de dire : c'est dommage; mais vous êtes rempli des attentions les plus obligeantes...emporté. Je ne songeais qu'à son génie , et je ne m'appercevais pas que le mien ( si tant est que j'en aie un ) , n'est point fait du tout pour le genre... | |
| Quintin Craufurd - 1815 - 336 pages
...bientôt cessé de les jouer; il convenait lui-même qu'ils ne valaient rien. « J'ai » fait, dit-il, une grande sottise de composer un » opéra; mais l'envie de travailler pour un homme » comme Rameau, m'avait emporté. Je ne son» geais qu'à son génie, et je ne m'apercevais pas » que le mien... | |
| Voltaire - 1821 - 582 pages
...suis trop heureux d'avoir un ami comme vous. Les autres se contentent de dire: c'est dommage; mais vous êtes rempli des attentions les plus obligeantes,...absence. J'ai fait une grande sottise de composer un opdra ; mais l'envie de travailler pour un homme comro« M. Hameau , m'avait emporté. Je ne songeais... | |
| L. Paillet-de-Warcy - 1824 - 448 pages
...convenait-il lui-même : « J'ai fait , écrivait-il à un de ses amis , j'ai fait une grande sottise de faire un opéra ; mais l'envie de travailler pour un homme...son génie, et je ne m'apercevais pas que le mien n'est point fait du tout pour le genre lyrique. » Dans le même temps , tout Paris courait applaudir... | |
| L. Paillet-de-Warcy - 1824 - 444 pages
...convenait-il lui-même : « J'ai fait , écrivait-il à un de ses amis , j'ai fait une grande sottise de faire un opéra ; mais l'envie de travailler pour un homme...ne songeais qu'à son génie, et je ne m'apercevais jsas qiïfe le miôh n'est point fait du tout pour le genre lyrique. ll Dans le même temps , tout... | |
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