| Voltaire - 1757 - 416 pages
...immédiatement fùivis du dégoût. D'ailleurs on ne va pas aux fpectacles tous les jours. Et dans la multitude de nos citoyens il n'ya pas quatre - mille hommes qui les fréquentent avec quelque affiduité. Je regarde la Tragédie & la Comédie comme des leçons de vertu , de raifon & de bienféance.... | |
| Voltaire - 1766 - 596 pages
...civilifés. Je regarde la Tragédie 8cta Comédie comme des leçons de vertu» de raifon , de de bienféance. Corneille, ancien Romain, parmi les Français> a établi une école de grandeur d'âme , & Molière a fondé celle de la vie civile. Les géniei Français formés par eux , appellent du... | |
| Voltaire - 1770 - 444 pages
...immédiatement fuivis du dégcût. D'ailleurs on .rie va pas aux fpectacles tous les jours. Et dans la multitude de nos citoyens il n'ya pas quatre mille hommes qui les fréquentent avec quelque affiduité. ~. ' Je regarde la tragédie & la comédie comme des leçons de vertu , de raifon & dé... | |
| Voltaire - 1775 - 444 pages
...immédiatement fuivis du degout. D'ailleurs on ne va pas aux fpedtacles tous les jours. Et dans la multitude de nos citoyens il n'ya pas quatre mille hommes qui les fréquentent avec quelque aiïiduité. Je regarde la tragédie & la comédie comme des leçons de vertu, de raifon & de bienféance.... | |
| Voltaire - 1785 - 502 pages
...immédiatement fuivis du dégoût. D'ailleurs on ne va pas aux fpectacles tous les jours; et dans la multitude de nos citoyens, il n'ya pas quatre mille hommes qui les fréquentent avec quelque affiduité. Je regarde la tragédie et la comédie comme des leçons de vertu , de raifon , et de bienféance.... | |
| Voltaire - 1785 - 420 pages
...immédiatement fuivis du dégoût. D'ailleurs on ne va pas aux fpeftacles tous les jours ; & dans la multitude de nos citoyens, il n'ya pas quatre mille hommes qui les fréquentent avec quelque affiduité. Je regarde la tragédie & la comédie comme des Jeçons de vertu, de raifon , & de bienféance.... | |
| Voltaire - 1785 - 428 pages
...immédiatement fuivis du dégoût. D'ailleurs on ne va pas aux fpedacles tous les jours; Se dans la multitude de nos citoyens , il n'ya pas quatre mille hommes qui les fréquentent avec quelque affiduité. Je regarde la tragédie 8c la comédie comme des leçons de vertu , de raifon , 8c de bienféance.... | |
| Voltaire - 1785 - 506 pages
...immédiatement fuivis du dégoût. D'ailleurs on ne va pas aux fpectacles tous les jours; et dans la multitude de nos citoyens, il n'ya pas quatre mille hommes qui les fréquentent avec quelque affiduité. Je regarde la tragédie et la comédie comme des leçons de vertu , de raifon , et de bienféance.... | |
| Voltaire - 1792 - 378 pages
...immédiatement fuivis du dégoir. O'ailleurs on ne va pas aux fpectacles tous les jours ; et dans la multitude de nos citoyens , il n'ya pas quatre mille hommes qui les fréquentent avec quelque affiduité. Je regarde la tragédie et la comédie comme des leçons de vertu-, de raifon , et de brenféance.Corneille... | |
| Voltaire - 1792 - 578 pages
...immédiatement fuivis dir dégoô'. D'ailleurs on ne va pas aux fpectacles tous les jours ; et dans la multitude de nos citoyens, il n'ya pas quatre mille hommes qui les fréquentent avec quel ue affiduité.Jeregardela tragédie et la coméJie comme dis lecons de vertu, de raifon , et de... | |
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