 | Jacques Bénigne Bossuet - 1748 - 588 pages
...cette origine eft petite. Leurs années fe pouffent fuccefTivement comme des flots : ils ne ceflent de s'écouler ; tant qu'enfin après avoir fait un peu plus de bruit, ôc traverfé un peu plus de Pays les uns que les autres , ils vont tous enfemble fe confondre dansunabyfme... | |
 | Jacques Bénigne Bossuet (évêque.) - 1754 - 530 pages
...origine eft petite. Leurs années fe pouflent fuccefifivçment comme des flots : ils ne •ceflent de s'écouler; tant qu'enfin après avoir fait un peu plus de bruit , & traverfé un peu plus de pays les ufts que les autres , ils vont tous enfemble fe confondre dans... | |
 | Gabriel-Henri Gaillard - 1776 - 524 pages
...Leurs attriees-fe pXjtriïènt Xiv. III. CSA F. IV. i£j> » vement comme des flots : ils ne ceflent » de s'écouler, tant qu'enfin, après avoir » fait un peu plus de bruit, & traverféun » peu plus de pays les uns que les autres, »a ils vont tous enfemble fe confondre »... | |
 | Louis Maïeul Chaudon - 1797 - 688 pages
...origine eft petite. » Leurs années le pouflent fuc» ceffivemem comme des flots; » ils ne ceflent de s'écouler, » tant qu'enfin après avoir fait » un peu plus de bruit & tra>» verlé un peu plus de pays les » uns que les autres, ils vont » tous enfeinble fe confondre... | |
 | Charles Batteux - 1802 - 336 pages
...cette origine est petite, (quelle » chute ! elle contraste cependant avec M superbe distinction. ) Leurs années se » poussent successivement comme des » flots ; ils ne cessent de s'écouler ( les M flots ) tant qu?enfin après avoir fait-un n peu plus de bruit ( phrase commune et » négligée... | |
 | Etienne Bonnot de Condillac - 1803 - 476 pages
...retour. En effet , nous ressemblons tous à des eaux courantes. De quelque distinction que sejlattent les hommes , ils ont tous une même origine, et cette origine est petite ~ Leurs anne'es se poussent successivement comme desflots jls ne cessent des' e'caulert tant qu'enfin , après... | |
 | Jacques Bénigne Bossuet - 1810 - 386 pages
...perdent sans retour » ( i ) . En effet , nous ressemblons tous à des eaux courantes. De quelque superbe distinction que se flattent les hommes, ils ont tous...cette origine est petite. Leurs années se poussent successive* ment comme des flots : ils ne cessent de s'écouler, tant qu'enfin, après avoir fait un... | |
 | Moustalon - 1810 - 512 pages
...retour. En effet, nous ressemblons tous à des » eaux courantes. De quelque superbe distinc» tion que se flattent les hommes , ils ont tous » une même origine , et cette origine est pe» tite. Leurs années se poussent suecessive» ment comme des flots: ils ne cessent de s'é» couler... | |
 | Ludwig Ideler - 1812 - 618 pages
...nous ressemblons tous à des еацх courantes. De quelque superbe distinction que se flattent Jes hommes, ils ont tous une même, .origine; et cette origine est petite. Lours années se poussent successivement comme des flots: ils ne cessent de s 'écouler : tant qu'enfin... | |
 | Jacques Bénigne Bossuet - 1816 - 656 pages
...perdent sans retour (0 ». En effet , nous ressemblons tous à des eaux courantes. De quelque superbe distinction que se flattent les hommes, ils ont tous...tant qu'enfin après avoir fait un peu plus de bruit, (') Otnnes morimur, et quasi aquae dilabinur iu terrain, tjuas non revertuntur. //. Beg. xiv. i.\.... | |
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En effet, nous ressemblons tous à des eaux courantes. De quelque superbe distinction que se flattent les hommes, ils ont tous une même origine; et cette origine est petite. Leurs années se poussent successivement comme des flots ; ils... 
