Recueil des notices et mémoires de la Société archéologique du département de Constantine, Volumes 15 à 16 |
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Page viii
... Ibn - Khaldoun , quand il affirme que les populations berbères apostasièrent jusqu'à douze fois . Mème depuis l'occupation française , le fanatisme semble avoir été dans ce pays le fait d'exaltés qui venaient y souffler le feu de la ...
... Ibn - Khaldoun , quand il affirme que les populations berbères apostasièrent jusqu'à douze fois . Mème depuis l'occupation française , le fanatisme semble avoir été dans ce pays le fait d'exaltés qui venaient y souffler le feu de la ...
Page 26
... Ibn - Khaldoun , la grande tribu des Ketama habitait , lors de l'invasion arabe , la région montagneuse comprise dans le quadrilatère de Setif à Bougie et de Constantine à Collo . Parmi les nombreuses ramifications de cette tribu ...
... Ibn - Khaldoun , la grande tribu des Ketama habitait , lors de l'invasion arabe , la région montagneuse comprise dans le quadrilatère de Setif à Bougie et de Constantine à Collo . Parmi les nombreuses ramifications de cette tribu ...
Page 31
... Ibn - Khaldoun , ils apostasièrent jusqu'à douze fois . Les marabouts musulmans , vraisemblablement installés d'abord à mi - côte , où ils servaient comme de trait d'u nion entre l'Arabe de la plaine et le Berbère de la mon- tagne ...
... Ibn - Khaldoun , ils apostasièrent jusqu'à douze fois . Les marabouts musulmans , vraisemblablement installés d'abord à mi - côte , où ils servaient comme de trait d'u nion entre l'Arabe de la plaine et le Berbère de la mon- tagne ...
Page 56
... Ibn - Khaldoun garde le silence , ce qui nous fait supposer que l'expédition d'Okba ne produisit , au début , que peu d'effet sur le pays qu'elle laissa au nord . Mais toutes les populations berbères , répondant à l'ap- pel de leur chef ...
... Ibn - Khaldoun garde le silence , ce qui nous fait supposer que l'expédition d'Okba ne produisit , au début , que peu d'effet sur le pays qu'elle laissa au nord . Mais toutes les populations berbères , répondant à l'ap- pel de leur chef ...
Page 62
... Ibn - Khaldoun , après avoir établi un empire dans l'Occident , devint très - puis- sant , et , par cette raison - là même , finit par s'éteindre dans le luxe et dans la mollesse . Toutes les branches de cette peuplade , à l'exception ...
... Ibn - Khaldoun , après avoir établi un empire dans l'Occident , devint très - puis- sant , et , par cette raison - là même , finit par s'éteindre dans le luxe et dans la mollesse . Toutes les branches de cette peuplade , à l'exception ...
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Expressions et termes fréquents
Abd-es-Selam Alger Almohades Amoucha arabe avaient Babor Baghaï Batna Beni-Abbas berbère Biban Biskra bordj Bou-Rennan Bou-Sada Bougie byzantine camp Carbuccia cavaliers centimètres cents chef cheikh cherif colonel colonne commandant côté d'Alger Diis manibus sacrum distance divi Djerid environ époque famille forme fouilles fractions général géographie Gétules goum guerre habitants hauteur Hodna Ibn-Khaldoun indigènes indique inscription Kabiles kaïd Kalâa Ketama khalifa Khenchela kilomètres l'Afrique l'Algérie l'Aurès l'emplacement l'Est l'inscription l'Oued l'Oued-Djedi l'Ouest Lambèse largeur Léon Renier ligne localité Madracen Madras'en marabout Mauritanie Medjana ment mètres mille Mokrani montagnes monument Msila murs nombreux Nord Numidie Oulad-el-Hadj passait pays pierres de taille place plaine planche populations porte position Procope province de Constantine Ptolémée région reste révolte Rir'a rivière romaine route ruines s'était Sahara Setif siècle située Société archéologique station Table de Peutinger Tchaker Tébessa Timegad tion tombeau tribus troupes trouve Turcs vixit annis Zaraï
Fréquemment cités
Page xxii - CORRESPONDANTES AGEN. — Société d'agriculture, sciences et arts. Aix. — Académie des sciences, agriculture, arts et belleslettres. ALGER. — Société historique. Id. Société de climatologie algérienne. AMIENS. — Société médicale. Id. — Société des Antiquaires de Picardie. ANGERS. — Société académique de Maine-et-Loire.
Page 58 - ... et, comme il montra une piété extrême et une grande abnégation de soi-même, il fit sur leurs esprits une profonde impression. Les fréquentes visites qu'il rendit à ces chefs, dans leur camp, furent aussi agréables pour lui que pour eux. Quand ils se disposèrent à partir pour leur pays, ils l'invitèrent à les y accompagner.
Page 71 - Quelques-uns des plus considérables sont étages et se composent de deux, trois ou quatre marches circulaires. Ces tumuli sont construits avec des pierres plates en calcaire blanc, superposées simplement les unes aux autres, de manière à former des cercles très-réguliers. Je n'ai retrouvé sur aucun d'eux la trace de la dalle qui aurait pu les recouvrir dans le principe. Mes loisirs ne m'ont permis jusqu'ici que d'en fouiller un seul. En enlevant, à la partie supérieure, une épaisse couche...
Page 76 - Tobna et de Msila, dont ils avaient chassé les habitants, ils se jetèrent sur les caravansérails, les villages, les fermes et les villes, abattant tout à ras de terre et changeant ces lieux en une vaste solitude, après en avoir comblé les puits et coupé les arbres.
Page xxii - AVESNES. — Société archéologique de l'arrondissement. AUXERRE. — Société des sciences historiques et naturelles de l'Yonne. BEAUVAIS. — Société académique d'archéologie, sciences et arts du département de l'Oise.
Page 134 - En outre, on a observé que la crue du Nil correspond à l'abondance des neiges et des pluies en Mauritanie. Sorti de ce lac, le fleuve s'indigne de couler à travers des lieux sablonneux et arides, et il se cache pendant un trajet de quelques jours de marche; puis, traversant un plus grand lac dans la Massaesylie, portion de la Mauritanie Césarienne, il s'élance, et jette, pour ainsi dire, un regard sur les sociétés humaines; la présence des mêmes animaux prouve que c'est toujours le même...
Page 249 - Conslantine au commencement du dix-huitième siècle, a laissé sur la Medjana des notes qui confirment les détails fournis par la tradition locale. Il écrivait, à la date du 15 février 1725 : « Ces troupes (la milice turque), si redoutables dans tout le royaume, sont obligées de baisser leurs étendards et leurs armes, en passant par un détroit fâcheux appelé la Porte de fer, entre des montagnes escarpées. La nation dite Benia-Beïd (Beni-Abbas), qui habile ces montagnes, les force à...
Page xxiv - ... littéraire des Pyrénées-orientales. POITIERS. Société des Antiquaires de l'Ouest. REIMS. — Académie nationale. ROME. — Institut archéologique. Id. — Cosmos. SAINT-OMER. — Société des Antiquaires. SAINT-PÉTERSBOURG. — Société impériale archéologique. SENS. — Société archéologique, SOISSONS. —Société archéologique, historique et scientifique. TOULON. — Société des sciences, belles-lettres et arts du Var. TOULOUSE. — Académie nationale des sciences, inscriptions...
Page 310 - à l'occident, on voit « une haute montagne. On passe de là au Ksar-Madrous « (Tombeau de Madrous), mausolée qui ressemble à une « grosse colline et qui est construit avec des briques « très-minces et cuites au feu. Il est bâti en forme de « niches peu grandes, et le tout est scellé avec du plomb. « On voit sur cet édifice des figures représentant des « hommes et d'autres espèces d'animaux. De tout côté le « toit est disposé en gradins ; sur le sommet pousse un « arbre. Dans...
Page 69 - Berbère était pris . on le garrottait , on le hissait par les pieds au-dessus du foyer allumé et on le maintenait dans une position où il pût être tourmenté par l'ardeur des flammes; mais dès qu'il paraissait être sur le point d'expirer, on le relevait pour lui donner le temps de se ranimer; puis on répétait cet affreux supplice jusqu'à ce qu'il rendît l'âme.