Œuvres de Voltaire, Volume 52Lefèvre, 1830 - 72 pages |
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Expressions et termes fréquents
Adieu aimable aime altesse royale Alzire amitié assez aurait avez BERGER bonté calomnie César Césarion charmante cher abbé cher ami chose Cideville Cirey cœur crois d'Argental Dieu digne dire divisible donner duc d'Aremberg Émilie envoyé épître esprit êtes ferai fesait Formont Frédéric gens goût grace Henriade heureux homme imprimer j'ai j'avais j'en jamais Jules César l'abbé Desfontaines L'ABBÉ MOUSSINOT l'amitié l'Enfant prodigue Lettres juives liberté Louis XIV m'avez m'en m'envoyer madame du Châtelet Madame la marquise mademoiselle Gaussin MADEMOISELLE QUINAULT marquise du Châtelet matière ment mérite Métaphysique mille monde monseigneur monsieur n'ai Newton ouvrage parceque parler pensée petit philosophie de Newton pièce plaisir poëte Pollion Prault PRINCE ROYAL raison Remusberg rien Rousseau ROYAL DE PRUSSE s'il sais Samson savez sentiments sera seul tendre Thieriot tragédie trouve Vassy en Champagne vérité veux Voilà Voltaire Voyez la lettre Voyez ma note voyez tome XXXVII Wolff
Fréquemment cités
Page 326 - Le mensonge n'est un vice que quand il fait du mal; c'est une très grande vertu, quand il fait du bien. Soyez donc plus vertueux que jamais. Il faut mentir comme un diable, non pas timidement, non pas pour un temps, mais hardiment et toujours.
Page 531 - Ce sentiment intérieur que nous avons de notre liberté est si fort, qu'il ne faudrait pas moins, pour nous en faire douter, qu'une démonstration qui nous prouvât qu'il implique contradiction que nous soyons libres. Or, certainement il n'ya point de telles démonstrations. Joignez à toutes ces...
Page 270 - Que ces objets sont beaux ! Que notre âme épurée Vole à ces vérités dont elle est éclairée ! Oui, dans le sein de Dieu, loin de ce corps mortel, L'esprit semble écouter la voix de l'Éternel.
Page 450 - Il a été un grand prince, un législateur, un fondateur; mais si la politique lui doit tant, quels reproches l'humanité n'at-elle pas à lui faire ! On admire en lui le roi , mais on ne peut aimer l'homme.
Page 70 - Ma grande dispute avec Pascal, roule précisément sur le fondement de son livre. Il prétend que pour qu'une religion soit vraie il faut qu'elle connaisse à fond la nature humaine, et qu'elle rende raison de tout ce qui se passe dans notre cœur. Je prétends que ce n'est point ainsi qu'on doit examiner une religion, et que c'est la traiter comme un système de philosophie; je prétends qu'il faut uniquement voir si cette religion est révélée ou non...
Page 537 - A peine pourrions - nous concevoir un être plus libre, qu'en tant qu'il est capable de faire ce qui lui plaît; et tant que l'homme a cette liberté, il est aussi libre qu'il est possible à la liberté de le rendre libre, pour me servir des termes de M. Locke.
Page 532 - Quand on dit que nous ne sommes pas libres quant à l'acte même de vouloir, cela ne fait rien à notre liberté, car la liberté consiste à agir ou ne pas agir, et non pas à vouloir et à ne vouloir pas.
Page 538 - ... cette liberté ; car la prescience de Dieu n'est pas la cause de l'existence des choses, mais elle est ellemême fondée sur leur existence. Tout ce qui existe aujourd'hui ne peut pas ne point exister pendant qu'il ' existe; et il était hier et de toute éternité aussi certainement vrai que les choses qui existent aujourd'hui devaient exister, qu'il est maintenant certain que ces choses existent.
Page 151 - De^fontaines ; celui-ci ne sait parler que de livres ; ce n'est qu'un auteur, et encore un bien médiocre auteur, et l'autre est un homme.
Page 408 - que Dieu nous a confié ; nous devons le nourrir de » ce que nous trouvons de plus précieux. Il faut faire » entrer dans notre être tous les modes imaginables, » ouvrir toutes les portes de son âme à toutes les » sciences et à tous les sentiments ; pourvu que tout » cela n'entre pas pêle-mêle, il ya place pour tout