| Voltaire - 1812 - 180 pages
...Alpes qui s'élèvent en amphithéâtre, et sur lesquelles les rayons du soleil forment mille accidens de lumière. M. Desalleurs n'avait pas une plus belle...Dans cette douce retraite -, on ne regrette point Postdam. Avez-vous toujours madame de Broumath dans votre Ue ? Vivez-y long-tems heureuse avec elle.... | |
| Voltaire - 1821 - 582 pages
...toute la Savoie au-delà de cette petite mer, et, par-delà la Savoie, les Alpes qui s'élèvent en amphithéâtre, et sur lesquelles les rayons du soleil...regrette point Potsdam. Avez-vous toujours madame de Bronmath dans votre île ? Vivez-y lon^-teni ps heureuse avec elle. Je ne laisse pas de déchiffrer... | |
| Voltaire - 1832 - 690 pages
...toute la Savoie au-delà de cette petite mer, et, par-delà la Savoie, les Alpes qui s'élèvent en amphithéâtre, et sur lesquelles les rayons du soleil...mille accidents de lumière. M. desAlleurs n'avait 1 Ce fut le 25 décembre qu'eut lieu le combat où les Hanovriens perdirent cinq à six mtt» hommes... | |
| Voltaire - 1839 - 694 pages
...Alpes qui s'élèvent en amphithéâtre , et sur lesquelles les rayons du soleil forment mille accidens de lumière. M. Desalleurs n'avait pas une plus belle...regrette point Potsdam. Avez-vous toujours madame de Brumath dans votre île ? Vivez-y long-temps heureuse avec elle. Je ne laisse pas de déchiffrer votre... | |
| Voltaire - 1839 - 682 pages
...Alpes qui s'élèvent en amphithéâtre , et sur lesquelles les rayons du soleil forment mille accidens de lumière. M. Desalleurs n'avait pas une plus belle...regrette point Potsdam. Avez-vous toujours madame de Brumath dans votre i\e? "Vivez-y long-temps heureuse avec elle. Je ne laisse pas de déchiffrer votre... | |
| Olivier - 1842 - 558 pages
...toute la Savoie au delà de cette petite » mer, et par delà la Savoie les Alpes qui s'élèvent en » amphithéâtre et sur lesquelles les rayons du soleil » forment mille accidents de lumière. » Dans ces fragments épars de l'itinéraire de Voltaire autour du lac Léman , qu'on a voulu simplement... | |
| J. A. Estienne - 1851 - 640 pages
...toute la Savoie au delà de cette petite mer, et, par delà la Savoie, les Alpes qui s'élèvent en amphithéâtre, et sur lesquelles les rayons du soleil forment mille accidents de lumière. M. des Alleurs n'avait pas une plus belle vue à Constantinople. Dans cette douce retraite, on ne regrette... | |
| J. A. Estienne - 1851 - 642 pages
...toute la Savoie au delà de cette petite mer, et, par delà la Savoie, les Alpes qui s'élèvent en amphithéâtre, et sur lesquelles les rayons du soleil forment mille accidents de lumière. M. des Aïleurs n'avait pas une plus belle vue à Constantinople. Dans cette douce retraite, on ne regrette... | |
| Oscar Honoré - 1853 - 288 pages
...toute la Savoie au delà de cette petite mer, et par delà la Savoie, — les Alpes qui s'élèvent en amphithéâtre et sur lesquelles les rayons du soleil forment mille accidents de lumière. Il est bien entendu que c'est du pays de Vaud et non pas de Genève qu'il parle, car : « Genève est... | |
| 1855 - 908 pages
...vois toute la Savoie au-delà de cette petile mer, et pardelà la Savoie les Alpes, qui s'élèvent en amphithéâtre, et sur lesquelles les rayons du soleil forment mille accidents de lumière. » Voilà donc Voltaire avec trois habitations sur les rives du Léman. Cela ne lui suffit pas encore,... | |
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