A New Method of Learning the French Language: Embracing Both the Analytic and Synthetic Modes of Instruction : Being a Plain and Practical Way of Acquiring the Art of Reading, Speaking and Composing French : on the Plan of Woodbury's Method with German

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Ivison, Phinney, 1863 - 508 pages
 

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Page 477 - ... délicieux jardins, dont l'enchantement soit tel qu'ils ne paraissent pas faits de la main des hommes ; épuisez vos trésors et votre industrie sur cet ouvrage incomparable ; et après que vous y aurez mis, Zénobie, la dernière main, quelqu'un de ces pâtres qui habitent les sables voisins de Palmyre, devenu riche par les péages de vos rivières, achètera...
Page 478 - Il parut1» avec cet air simple et modeste qui annonce presque toujours le vrai mérite. Le président se leva, et, sans proférer une seule parole, il lui montra d'un air affligé la coupe emblématique, cette coupe si exactement pleine. Le docteur comprit...
Page 488 - Français! pour nous, ah! quel outrage! Quels transports il doit exciter! C'est nous qu'on ose méditer De rendre à l'antique esclavage! Aux armes... Quoi! des cohortes étrangères Feraient la loi dans nos foyers!
Page 489 - Amour sacré de la patrie, Conduis, soutiens nos bras vengeurs ! Liberté ! Liberté chérie, Combats avec tes défenseurs ! Sous nos drapeaux, que la victoire Accoure à tes mâles accents ! Que tes ennemis expirants Voient ton triomphe et notre gloire ! Aux armes, etc.
Page 477 - N'y épargnez rien, grande Reine; employez-y l'or et tout l'art des plus excellents ouvriers; que les Phidias et les Zeuxis de votre siècle déploient...
Page 484 - Combien j'ai douce souvenance Du joli lieu de ma naissance ! Ma sœur, qu'ils étaient beaux les jours De France ! O mon pays, sois mes amours Toujours ! Te souvient-il que notre mère, Au foyer de notre chaumière, Nous pressait sur son cœur joyeux, Ma chère ; Et nous baisions ses blancs cheveux Tous deux. Ma sœur, te souvient-il encore Du château que baignait la Dore ? Et de cette tant vieille tour Du Maure, Où l'airain sonnait le retour Du jour?
Page 475 - Pluton accorda donc à celui-ci qu'il irait dans le corps d'un homme. Mais, comme le dieu eut honte de l'envoyer dans le corps d'un homme...
Page 266 - Qdèle , qui les égale tous ; elle ne les distingue point par leurs noms et par leurs places, mais par leurs vertus; et les plus grands à ses yeux sont ceux qui sont les plus saints1.
Page 484 - L'orage a brisé le chêne Qui seul était mon soutien ; De son inconstante haleine Le zéphyr ou l'aquilon Depuis ce jour me promène De la forêt à la plaine, De la montagne au vallon . Je vais où le vent me mène; Sans me plaindre ou m'effrayer ; Je vais où va toute chose, Où va la feuille de rose, Et la feuille de laurier.
Page 475 - Pluton vouloit la renvoyer dans le corps d'un âne pesant et stupide, pour lui ôter sa souplesse, sa vivacité et sa malice : mais elle fit tant de tours...

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