Les prolégomènes d'Ibn Khaldoun, Volume 1Imprimerie impériale, 1863 |
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... un talent supérieur . » Entre les années 280 ( 893 de J. C. ) et 290 , pendant qu'un esprit général d'insubordination agitait l'Espagne , l'émir Abd - Allah confia son jeune fils Mohammed aux soins d'Oméia , fils d'Abd el - Ghafer , qu ...
... un talent supérieur . » Entre les années 280 ( 893 de J. C. ) et 290 , pendant qu'un esprit général d'insubordination agitait l'Espagne , l'émir Abd - Allah confia son jeune fils Mohammed aux soins d'Oméia , fils d'Abd el - Ghafer , qu ...
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... qu'un souverain n'aurait pu faire . Le soir de mon départ il me donna un nouveau témoignage de son respect , en aidant , de ses propres mains , à lancer à l'eau la barque qui devait me transporter à l'autre bord1 . Débarqué à Djebel el ...
... qu'un souverain n'aurait pu faire . Le soir de mon départ il me donna un nouveau témoignage de son respect , en aidant , de ses propres mains , à lancer à l'eau la barque qui devait me transporter à l'autre bord1 . Débarqué à Djebel el ...
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... un grand festin , où les poëtes récitèrent des vers en sa présence , ainsi que cela se pratiquait à la cour des rois ... qu'il jouît d'une haute influence et qu'il exerçât la plus grande autorité dans l'administration de l'État , le ...
... un grand festin , où les poëtes récitèrent des vers en sa présence , ainsi que cela se pratiquait à la cour des rois ... qu'il jouît d'une haute influence et qu'il exerçât la plus grande autorité dans l'administration de l'État , le ...
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... qu'ils m'attribuaient ; mais ce prince ne les écouta pas . Pendant ce temps j'offrais à Dieu , comme un titre à sa faveur , tous les dégoûts dont on m'abreuvait ; je méprisais les intrigues de ces misérables , et je marchais droit mon ...
... qu'ils m'attribuaient ; mais ce prince ne les écouta pas . Pendant ce temps j'offrais à Dieu , comme un titre à sa faveur , tous les dégoûts dont on m'abreuvait ; je méprisais les intrigues de ces misérables , et je marchais droit mon ...
Page lxxxix
Ibn Khaldūn. tingué , et un de ceux qui étaient venus ( en Syrie ) avec le sultan . Quand celui - ci eut renoncé à son entreprise , Ibn Khaldoun ne s'en aperçut probablement pas , de sorte qu'il se trouva pris ( dans la ville ) comme dans ...
Ibn Khaldūn. tingué , et un de ceux qui étaient venus ( en Syrie ) avec le sultan . Quand celui - ci eut renoncé à son entreprise , Ibn Khaldoun ne s'en aperçut probablement pas , de sorte qu'il se trouva pris ( dans la ville ) comme dans ...
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Les prolégomènes d'IBN Khaldoun, Partie 1 Abd al-Rahman b. Muhammad Ibn Jaldún Affichage du livre entier - 1863 |
Expressions et termes fréquents
Abbacides Abou Bekr Abou l-Abbas Abou Yahya Almohades Almoravides avaient Baghdad cadi chef choses compose Coran côté d'Abou d'Ibn désert désigner Dieu dynastie Égypte empire ensuite esprit de corps faculté famille Fatémides fils gouvernement habitants hafside Hammou hommes Ibn Abi Ibn Khaldoun imam indique jusqu'à khalifat khalife Khazar Koufa l'âme l'an l'auteur l'autorité l'édition de Boulac l'Égypte l'émir l'empire l'équateur l'esprit de corps l'extrémité l'hégire l'Histoire des Berbers l'imam l'imamat l'islamisme l'occident l'orient l'ouest lettres lisez Littéral Maghreb malékite manière manuscrits Mecque Médine mérinide Mohammed Ibn montagne mourut musulmans nomade nombre nord Omar Oméiades orientale passe pays perceptions peuple peuple turc porte prince Prolégomènes Prophète province puissance quatrième climat race religion renferme reste s'était s'étend Sanhadja Seldjoukides septentrionale située sour souverain spirituel sujet sultan Abou Supplément arabe Syrie territoire texte arabe tion Tlemcen traduction traite tribu troisième climat trouve vizir Yahya Yémen على من
Fréquemment cités
Page 309 - Le naturel farouche des Arabes en a fait une race de pillards et de brigands. Si les Arabes ont besoin de pierres pour servir à l'appui de leur marmite, ils dégradent les bâtiments afin de se les procurer ; s'il leur faut du bois, ils détruisent les toits des maisons pour en avoir... hostiles à ce qui est édifice... toujours prêts à enlever de force le bien d'autrui...
Page 312 - Voyez, dit-il plus loin, tous les pays que les Arabes ont conquis depuis les siècles les plus reculés : la civilisation en a disparu, ainsi que la population ; le sol même paraît avoir changé de nature.
Page 310 - ... s'il leur faut du bois pour en faire des piquets ou des soutiens de tente, ils détruisent les toits des maisons pour en avoir. Par la nature même de leur vie. ils sont hostiles à tout ce qui est édifice; or, construire des édifices, c'est faire le premier pas dans la civilisation.
Page 310 - Les habitudes et les usages de la vie nomade ont fait des Arabes un peuple rude et farouche. La grossièreté des mœurs est devenue pour eux une seconde nature, un état dans lequel ils se complaisent, parce qu'il leur assure la liberté et l'indépendance. Une telle disposition s'oppose au progrès de la civilisation. Se transporter de lieu en lieu, parcourir les déserts, voilà, depuis les temps les plus reculés, leur principale occupation.
Page 222 - Nous avons vu quelques-uns de ces individus entraver l'opération des sens par l'emploi de simples fumiP. «g5- gâtions; puis se servir d'incantations afin de donner à l'âme la disposition requise; ensuite ils racontent ce qu'ils ont aperçu. Ces formes, disent-ils, se montrent dans l'air et représentent des personnages; elles leur apprennent, au moyen d'emblèmes et de signes, les choses qu'ils cherchent à savoir. Les individus de cette classe se détachent moins de l'influence des sens que...
Page 221 - Pour écarter le voile des sens, le vrai devin n'emploie pas de grands efforts ; quant aux autres, ils tâchent d'arriver au but en essayant de concentrer en un seul sens toutes leurs perceptions. Comme la vue est le sens le plus noble, ils lui donnent la préférence ; fixant...
Page 221 - ... chose qu'ils veulent annoncer. Quelques personnes croient que l'image aperçue de cette manière se dessine sur la surface du miroir ; mais ils se trompent. Le devin regarde fixement cette surface jusqu'à ce qu'elle disparaisse et qu'un rideau, semblable à un brouillard, s'interpose entre lui et le miroir. Sur ce rideau se dessinent les formes qu'il désire apercevoir et cela lui permet de donner des indications soit affirmatives soit négatives sur ce qu'on désire savoir. Il raconte alors...
Page 71 - ... rangs, les occupations auxquelles les hommes consacrent leurs travaux et leurs efforts, telles que les professions lucratives, les métiers qui font vivre, les sciences, les arts, enfin tous les changements que la nature des choses peut opérer dans le caractère de la société.
Page xc - J'ai vu beaucoup de princes arabes, j'ai été à la Cour de tel et tel sultan; j'ai visité les pays de l'Orient et de l'Occident; je me...