| Nicolas Gouin Dufief - 1810 - 550 pages
...gémissemens rares et interrompus de la hulotte ; mais au loin, par intervalles, on entendait les roulemens solemnels de la cataracte de Niagara, qui. dans le...de désert en désert, et expiraient à travers les fortes solitaires. La grandeur, l'étonnante mélancolie do ce tableau, ne sauraient s'exprimer dans... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1815 - 284 pages
...gémissemens rares et interrompus de la hulotte ; mais au loin, par intervalles, on entendait les roulemens solemnels de la cataracte de Niagara, qui, dans le...dans les langues humaines ; les plus belles nuits en Europe ne peuvent en donner une idée. Au milieu de nos champs cultivés, en vain l'imagination... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1815 - 284 pages
...gémissemens rares et interrompus de la hulotte ; mais au loin, par intervalles, on entendait les roulemens solemnels de la cataracte de Niagara, qui, dans le...dans les langues humaines ; les plus belles nuits en Europe ne peuvent en donner une idée. Au milieu de nos champs cultivés, en vain l'imagination... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1816 - 430 pages
...gémissement de la hulotte; »u • . loin , par intervalles , on entendoit les sourds mugissemens de la cataracte de Niagara, qui, dans le calme de la nuit, se prolongeoient de désert en désert , et expiroient à travers les forêts solitaires. La grandeur... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1816 - 428 pages
...subit, le gémissement de la hulotte; au loin, par intervalles, on entendoit les sourds mugissemens de la cataracte de Niagara, qui, dans le calme de la nuit, se prolongeoient de désert en désert, et expiroient à travers les forets solitaires. La grandeur ,... | |
| Mariano Cubí y Soler - 1826 - 398 pages
...la hulotte; mais au loin, par intervalles, on entendait les roulemens solemnels de la cataracte du Niagara, qui, dans le calme de la nuit, se prolongeaient...s'exprimer dans les langues humaines; les plus belles nuits en Europe ne peuvent en donner une idée. En vain, dans nos champs cultivés, l'imagination cherehe... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1832 - 288 pages
...cataracte de Niagara, qui, daijs le calme de la nuit, se prolongeoient de désert en désert, et expiroient à travers les forêts solitaires. La grandeur, l'étonnante mélancolie de ce tableau, ne sauroient s'exprimer dans les langues humaines; les plus belles nuits en Europe ne peuvent en donner... | |
| 1834 - 632 pages
...gémissemens rares et interrompus de la hulotte ; mais au loin, par intervalles, on entendait les roulemens solemnels de la cataracte de Niagara, qui, dans le...désert, et expiraient à travers les forêts solitaires. ne peuvent en donner une idée. En vain, dans nos champe culi ¡té*, l'imagination cherche à s'étendre;... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1834 - 470 pages
...cataracte du Niagara, qui, dans le calme de la nuit, se prolongeoient de désert en désert, et expiroient à travers les forêts solitaires. La grandeur, l'étonnante mélancolie de ce tableau, ne sauroient s'exprimer dans les langues humaines; les plus belles nuits en Europe ne peuvent en donner... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1834 - 288 pages
...cataracte de Niagara, qui, dans le calme de la nuit, se prolongeoient de désert en désert, et expiroient à travers les forêts solitaires. La grandeur, l'étonnante mélancolie de ce tableau, ne sauroient s'exprimer dans les langues humaines ; les plus belles nuits en Europe ne peuvent en donner... | |
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