... les fit sortir et me donna la vie de ce pauvre homme qui me tenoit, lequel je fis coucher et panser dans mon cabinet jusqu'à ce qu'il fût guéri. Mémoires - Page 122de Société impériale des sciences, de l'agriculture et des arts de Lille - 1877Affichage du livre entier - À propos de ce livre
| 1789 - 388 pages
...ne fe pufl tenir de rire; & fe courrouça fort aux Archers de cette indifcretion , les fit fortir, & me donna la vie de ce pauvre homme qui me tenoit , lequel je fis coucher & panfer dans mon cabinet jufques à tant qu'il fuft du tout guery. Et changeant de chemife, parce... | |
| 1820 - 656 pages
...qu'il eut de la compassion , ne ¡- put se tenir de rire et se courrouça » fort aux archers , les lit sortir et » me donna la vie de ce pauvre » homme qui me tenoit , et que je lis » coucher et panser dans mon cabi» net , jusqu'à ce qu'il fût du tout » guéri... | |
| 1823 - 548 pages
...voulut que M. de Nançay (2), capitaine des gardes, y vinst, qui me trouvant en cet estai là, encor qu'il y eust de la compassion, ne se put tenir de...me tenoit, lequel je fis coucher et penser dans mon cabinet jusques à tant qu'il fust du tout guery. Et changeant de chemise, parce qu'il m!avoit toute... | |
| Petitot (M., Claude-Bernard) - 1823 - 558 pages
...de la compassion, ne se put tenir de rire, et se courrouça fort aux archers de cette indiscretion, les fit sortir, et me donna la vie de ce pauvre homme qui me ten oit, lequel je fis coucher et penser dans mon cabinet jusques à tant qu'il fust du tout guery.... | |
| Petitot (M., Claude-Bernard) - 1823 - 550 pages
...de la compassion, ne se put tenir de rire, et se courrouça fort aux archers de cette indiscretion, les fit sortir, et me donna la vie de ce pauvre homme...me tenoit, lequel je fis coucher et penser dans mon cabinet jusques à tant qu'il fust du tout guery. Et changeant de chemise, parce qu'il m'avoit toute... | |
| Henriette Amey - 1830 - 528 pages
...état-là, bien qu'il eut dela compassion, « ne put se tenir de rire, et se courrouça fort aux archers, « les fit sortir, et me donna la vie de ce pauvre homme qui « me tenoit, et que je fis coucher et panser dans mon ca« binet, jusqu'à ce qu'il fût du tout guéri, et changeant... | |
| Jacques-Benjamin Saint-Victor - 1830 - 690 pages
..., ne put se tenir » de rire, et se courrouça fort aux archers de cette indiscrétion, » les fît sortir, et me donna la vie de ce pauvre homme, qui > me tenait, lequel je fis coucher et panser dans mon cabinet, v jusque! à tant qu'il fût du tout guéri.... | |
| Jean Charles L. Simonde de Sismondi - 1835 - 584 pages
...compassion , ne se put tenir de rire ; et se ce courrouça fort aux archers de cette indis« crétion , les fit sortir, et me donna la vie de ce « pauvre homme qui me tenoit , lequel je fis « coucher et panser dans mon cabinet , jusques ee à tant qu'il fût du tout guéri. En changeant de ee chemise... | |
| Jean-Charles-Léonard Simonde Sismondi - 1835 - 582 pages
...compassion , ne se put tenir de rire ; et se « courrouça fort aux archers de cette indis« crétion , les fit sortir, et me donna la vie de ce « pauvre homme qui me tenoit , lequel je fis « coucher et panser dans mon cabinet , jusques « à tant qu'il fût du tout guéri. En changeant de ee chemise... | |
| Joseph Fr. Michaud - 1838 - 634 pages
...voulut que M. de INancay (2), capitaine des gardes, y vinst, qui me trouvant en cet estât là , ehcor qu'il y eust de la compassion, ne se put tenir de...me tenoit, lequel je fis coucher et penser dans mon cabinet jusques à temps qu'il fust du tout guery. Et changeant de chemise , parce qu'il m'avoit toute... | |
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