Revue africaine: journal des travaux de la société historique algérienne, Volume 30 |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-5 sur 27
Page 56
Il se mit cependant à la poursuite du rezzou avec Taïeb ben ElHadj Kaddour , Kebir des Oulad - En - Nessire , que suivirent une dizaine de mehara , dont les tentes étaient dans le voisinage , et , grâce à la rapidité de leur marche ...
Il se mit cependant à la poursuite du rezzou avec Taïeb ben ElHadj Kaddour , Kebir des Oulad - En - Nessire , que suivirent une dizaine de mehara , dont les tentes étaient dans le voisinage , et , grâce à la rapidité de leur marche ...
Page 57
... qu'une vingtaine de combattants , y compris trois nègres . Elle ne disposait que de cinq mehara et de sept chameaux de bât , qui furent répartis à raison de un pour trois fusils ( 1 ) . La marche fut assez lente dans ces conditions ...
... qu'une vingtaine de combattants , y compris trois nègres . Elle ne disposait que de cinq mehara et de sept chameaux de bât , qui furent répartis à raison de un pour trois fusils ( 1 ) . La marche fut assez lente dans ces conditions ...
Page 58
Grâce à la lenteur de leur marche , un Madhoui en relations avec Rabah ben Naïmi , put le faire prévenir . Celui - ci reçut cet avis assez tard dans la soirée , mais , montant aussitôt à cheval , il galopa jusqu'à Settour , basfond ...
Grâce à la lenteur de leur marche , un Madhoui en relations avec Rabah ben Naïmi , put le faire prévenir . Celui - ci reçut cet avis assez tard dans la soirée , mais , montant aussitôt à cheval , il galopa jusqu'à Settour , basfond ...
Page 61
La capture de ces 25 chameaux permit à ceux - ci de se monter tous , et ils purent ainsi accélérer leur marche . Les traces des troupeaux étaient fort nombreuses dans toutes les 61.
La capture de ces 25 chameaux permit à ceux - ci de se monter tous , et ils purent ainsi accélérer leur marche . Les traces des troupeaux étaient fort nombreuses dans toutes les 61.
Page 81
Mais les Chaâmba , qui n'avaient marché contre Bout Choucha qu'avec la plus grande répugnance , et parce que quelques - uns des leurs avaient été razzés par lui , étaient de cœur avec ces dissidents . Sans le concours de cette tribu ...
Mais les Chaâmba , qui n'avaient marché contre Bout Choucha qu'avec la plus grande répugnance , et parce que quelques - uns des leurs avaient été razzés par lui , étaient de cœur avec ces dissidents . Sans le concours de cette tribu ...
Avis des internautes - Rédiger un commentaire
Aucun commentaire n'a été trouvé aux emplacements habituels.
Autres éditions - Tout afficher
Revue africaine: bulletin de travaux de la Société historique ..., Volume 66 Affichage d'extraits - 1971 |
Revue africaine: journal des travaux de la société historique ..., Volume 17 Affichage d'extraits - 1968 |
Revue africaine: journal des travaux de la société historique ..., Volume 24 Affichage d'extraits - 1968 |
Expressions et termes fréquents
africaine anciens année appelé Arabes arriva assez aujourd'hui avaient avant avons ayant berbère bonne c'était campements Châamba chameaux charges chef Cheikh chérif chevaux colonnes compte côté coup cours d'abord d'ailleurs d'après d'autres d'Ouargla dernier devant Dieu dire direction donner Dorien effet enfin ennemis ensuite environ Étienne de Byzance faisait famille femme fils force forme frère général gens géographiques Grecs groupe guerre habitants Hamza harka haut hommes indigènes jours jusqu'à kilomètres l'oued l'Ouest l'un laissé lieu livre localité loin main marche Mauritanie Medaganat mehara Mekhadema ment Mohamed montagne mort moyens n'avait n'était nomades nombre nombreux nommé Nord nouvelle Ouargla parler passer pays pendant père petite peuple place population porte pouvait premier presque pris puits qu'une quatre race région rendirent reste rezzou rien route s'était Sahara sahariennes sens serait seulement siècle sorte suite suivant sultan tard tentes terre tion Touareg tribus trouvait venait ville voyant
Fréquemment cités
Page 198 - ravitailler, de satisfaire à leurs besoins et d'aller à leur » secours au lieu de faire des opérations utiles contre » l'ennemi; parce que ces secours n'admettent pas de » retard, qu'il faut souvent marcher par le temps le plus » défavorable et que de là peut naître une catastrophe. » Les postes qui ne sont pas démontrés d'une nécessité » absolue doivent être soigneusement évités, car ils sont » une source d'embarras, de faiblesse et de danger (1). » C'est une erreur, croyons-nous,...
Page 294 - Kalàn, une colonie nombreuse de chrétiens berbères parmi les tribus qui vinrent peupler leur capitale, et qui continuèrent à l'habiter encore longtemps après la fondation de Bougie, ville dans laquelle les princes "hammadites établirent plus tard le siége de leur gouvernement.
Page 295 - ... et détruisant tout ce qui se trouvait sur leur passage. Ces événements, et les guerres acharnées qu'il fallut soutenir, ébranlèrent profondément la prospérité de l'Ifrikia; la dévastation s'étendit partout; plusieurs grandes villes furent détruites et une foule de brigands interceptaient les routes et dépouillaient les voyageurs. Les Arabes, ayant enlevé au peuple sanhadjien toutes ses villes, établirent leur autorité sur les lieux que le khalife leur avait assignés. Le prince...
Page 296 - C'est le dernier prélat indigène dont nous puissions constater l'existence ; et déjà la population, peut-être ses propres fidèles, qu'envahissait d'année en année l'influence du langage et des habitudes arabes, le désignaient sous (1) De Mas-Latrie.
Page 242 - ... réparti au besoin en trois ou quatre sections dans le Sahara de nos trois départements algériens et en Tunisie: La marine aurait la faculté d'y envoyer des officiers et sous-officiers mécaniciens se former pour la construction de lignes dans nos colonies d'outre mer. Cette création nous paraît s'imposer comme la conséquence logique des conclusions de cette étude : Ni progrès, ni extension, ni sécurité intérieure ou extérieure sans l'occupation pacifique de la totalité du Sahara...
Page 367 - Za!i, quand ils fondèrent la ville qui porte encore leur nom et qui est située à huit journées au Sud de Biskera, en tirant vers l'Ouest. Elle se composa d'abord de quelques bourgades voisines les unes des autres, mais sa population ayant augmenté, ces villages finirent par se réunir et former une ville considérable. Les Beni-Ouargla avaient alors parmi eux une...
Page 294 - Cette défection amena des guerres sanglantes et interminables, qui eurent pour conséquence l'entrée dans l'Afrique septentrionale d'une nouvelle invasion arabe. A cette époque, les tribus arabes nomades des Hilal étaient cantonnées dans la Haute-Égypte, où elles répandaient la dévastation, attaquant même les pèlerins de la Mecque aux jours où l'on remplissait les grands devoirs de la religion. Afin de se débarrasser de leur présence d'une manière utile, le khalife résolut de -les...
Page 295 - Kalàa, se vil bientôt bloqué par l'ennemi. Les assiégeants, après avoir dévasté les jardins et coupé tous les bois qui entouraient la place, allèrent insulter les autres villes de la province. Ayant mis en ruines celles de Tobna et de Msila, dont ils avaient chassé les habitants, ils se jetèrent sur les caravansérails, les villages, les fermes et les villes, abattant tout à ras de terre et changeant ces lieux en une vaste solitude, après en avoir comblé les puits et coupé les arbres.
Page 295 - Moghreb, qui s'est soustrait à l'autorité de son maître. Ainsi, dorénavant, vous ne serez plus dans le besoin ! » Ces nomades, animés par l'espoir du butin, franchirent le Nil et allèrent occuper la province de Barka.
Page 370 - H/ml passé par Ouargla, il en fut émerveillé et, voulant ajouter à l'importance de cette ville, il y fit bâtir l'ancienne mosquée dont le haut minaret porte encore inscrit sur une pierre le nom du fondateur et la date de sa construction.