Le Bibliophile français, Volume 4Bachelin-Deflorenne, 1869 |
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Fréquemment cités
Page 108 - Jésus-Christ, une si vive reconnoissance du peuple qu'il a racheté par son sang, de si nobles images de ses victoires et de son règne, avec des chants si merveilleux pour en célébrer les grandeurs, qu'il ya de quoi ravir le ciel et la terre.
Page 86 - Mortain, et parmi les sujets difficiles à expliquer, cite le suivant : « Un individu, dont la chevelure rasée sur le front est collée sur les joues comme celle d'un moine, est assis sur le dos d'un animal monstrueux, le visage tourné vers la queue de sa monture, dans l'attitude de la frayeur ou même de la fuite. Il tient à deux mains, jeté sur son épaule, un sac passablement garni. L'animal est presque entièrement couvert par les habits flottants de son cavalier; on ne distingue que deux...
Page 108 - Il est vrai qu'on est à la fois saisi de frayeur, en y lisant les effets terribles de la justice de Dieu , les sanglantes exécutions de ses saints anges , leurs trompettes qui annoncent ses...
Page 220 - ... de dix-sept ans se dessèche, aussi bien que les fleurs qui devaient le parer. Le Pont de Lucerne nous montre la Mort à nos côtés et partout ; à table, où elle a la serviette autour du cou, le verre à la main et porte des santés ; dans l'atelier du peintre où, en garçon barbouilleur, elle...
Page 217 - ... et dont le fond est une sorte de prosopopée dans laquelle la Mort s'adresse aux personnes de chaque condition. De ces sermons, cette idée passa naturellement dans les poésies vulgaires ", et donna naissance à des quatrains, à des versets d'après lesquels , comme nous l'avons déjà dit ( p.
Page 135 - Et ils dirent aux montagnes et aux rochers : Tombez sur nous, et cachez-nous de devant la face de celui qui est assis sur le trône, et de la colère de l'Agneau, — parce que le grand jour de leur colère est arrivé; et qui pourra subsister en leur présence?
Page 95 - Réduits aujourd'hui à la plus affreuse indigence, nous n'entendons que les cris languissants d'une famille affamée, à laquelle nous regrettons presque d'avoir donné le jour. Tristes victimes d'un barbare intérêt, nous supplions au moins pour ceux qui nous succéderont, si nous n'avons pas le bonheur d'échapper à la famine qui nous exténue, de statuer sur les moyens...
Page 151 - Et le seigneur livra entre ses mains Joachim, roi de Juda, et une partie des vases de la maison de Dieu, qu'il emporta au pays de Sennaar, en la maison de son Dieu, et il mit les vases en la maison du trésor de son Dieu.
Page 172 - Dans la sculpture du onzième siècle, en France, le diable commence à jouer un rôle important : il apparaît sur les chapiteaux, sur les tympans ; il se trouve mêlé à toutes les scènes de l'Ancien et du Nouveau Testament, ainsi qu'à toutes les légendes de saints. Alors l'imagination des artistes s'est plu à lui donner les figures les plus étranges et les plus hideuses : tantôt il se présente sous la forme d'un homme monstrueux, souvent pourvu d'ailes et de queue... Pendant la période...
Page 158 - ... l'écoulement de l'eau. Les quatre vents du ciel, pauvrement représentés (VII, 2) sur la marge, sont en regard des quatre bêtes de la seconde vision : La lionne, aux ailes d'aigle, — le léopard ailé, à quatre têtes, l'ours carnassier à trois rangs de dents dans la gueule (ici sans dents), — et la bête à dix cornes, ayant sur une des cornes «des yeux « comme les yeux d'un homme et une bouche qui disait de grande choses.