 | Denis Diderot - 1751 - 286 pages
...nôtre , & n'ayant fou^ vent qu'un terme pro-r pre à rendre une idée , nous aimons mieux affoiblir l'idée que de ne pas employer un terme noble, Quelle..., que celle de tant de mots que nous revoyons avec plaifîr dans Amyot & dans Montagne. Ils ont commencé par être rejettes du beau ftyle , parce qu'ils... | |
 | Denis Diderot - 1751 - 166 pages
...appauvri la nôtre, 8e n'ayant fouvent qu'un terme propre à rendre une idée, nous aimons mieux affoiblir l'idée que de ne pas employer un terme noble. Quelle..., que celle de tant de mots que nous revoyons avec plaifir dans Amyot Se dans Montagne! Ils ont commencé par être rejettes du beau ftyle, parce qu'ils... | |
 | Denis Diderot - 1772 - 424 pages
...appauvri la nôtre, & n'ayant fouvent qu'un terme propre à rendre une idée , nous aimons mieux affoiblir l'idée que de ne pas' employer un terme noble. Quelle perte pour ceux d'entre nos Ecrivains qui ont l'imagination forte, que celle de tant de mots que nous revoyons avec piaifir K dans... | |
 | Denis Diderot - 1773 - 518 pages
...appauvri la nôtre ; & n'ayant fouvent qu'un terme propre à rendre une idee , nous aimons mieux affoiblir l'idée que de ne pas employer un terme noble. Quelle...que celle de tant de mots qu,e nous revoyons avec plaifir dans Amyot ôÇ dans Montagne ! Ils ont commencé par être re* jettés du beau ftyle , parce... | |
 | Denis Diderot - 1798 - 562 pages
...la nôtre, et n'ayant souvent qu'un terme propre à rendre une idée , nous aimons mieux afîbiblir l'idée que de ne pas employer un terme noble. Quelle...forte , que celle de tant de mots que nous revoyons avez plaisir dans Amyot et dans Montaigne. Ils ont commencé par être rejetés du beau style , parce... | |
 | Denis Diderot - 1800 - 488 pages
...la nôtre, et n'ayant souvent qu'un terme propre à rendre une idée , nous aimons mieux affoiblir l'idée que de ne pas employer un terme noble. Quelle...écrivains qui ont l'imagination forte , que celle He tant de mots que nous revoyons avec plaisir dans Aniyot et dans Montaigne. Us ont commencé par... | |
 | Denis Diderot - 1818 - 772 pages
...notre langue un grand nombre d'expressions énergiques. Les Grecs ,les Latins qui ne connaissent guère cette fausse délicatesse , disaient en leur langue...de tant de mots que nous revoyons avec plaisir dans Ainyot et dans Montaigne. Us ont commencé par être re-ijetés du beau style , parce qu'ils avaient... | |
 | Denis Diderot - 1821 - 592 pages
...notre langue un grand nombre d'expressions énergiques. Les Grecs, les Latins qui ne connaissent guère cette fausse délicatesse, disaient en leur langue...avec plaisir dans Amyot et dans Montaigne. Ils ont commenéé par être rejetés du beau style, parce qu'ils avaient passé dans le peuple; et ensuite,... | |
 | Denis Diderot - 1889 - 450 pages
...qu'un terme propre à rendre une idée, nous aimons mieux affaiblir l'idée que de ne pas employer le terme noble. Quelle perte pour ceux d'entre nos écrivains...dans Amyot et dans Montaigne! Ils ont commencé par êlre rejetés du beau style, parce qu'ils avaient passé dansée peuple; et ensuite, rebutés par... | |
 | 1919 - 496 pages
...ne pas employer un termc noble.1 Quelle perte pour ceux d'entre nos Ecrivains qui ont 1'imagination forte, que celle de tant de mots que nous revoyons avec plaisir dans Amyot & dans Montague. Ils ont commence par etre rejette"s du beau style, parce qu'ils avoient passe" dans... | |
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Latins qui ne connaissent guère cette fausse délicatesse, disaient en leur langue ce qu'ils voulaient, et comme ils le voulaient. Pour nous, à force de raffiner, nous avons appauvri la nôtre, et n'ayant souvent qu'un terme propre à rendre une idée,... 
