Mélanges de littérature, Volume 2 |
Avis des internautes - Rédiger un commentaire
Aucun commentaire n'a été trouvé aux emplacements habituels.
Autres éditions - Tout afficher
Expressions et termes fréquents
admirable aime airs ancienne appelle arrive arts assez aurait avaient avant Bardes beau belle besoin bonté Bruyère c'était caractère Catulle cesse chant cher chercher chevalier choses cœur cour croire d'être demande devait dire dit-il doit donne doute effet également enfin esprit essen femmes force forme génie Gluck goût grecs habitans heure hommes idées j'ai jeune jour jusqu'à l'air l'autre l'eau l'esprit l'homme l'un laisse langue lettres lieu livre loin mains maître manière matelots ment mesure monde Monsieur montrer mort moyen musique n'avait n'en nature navire observer ouvrages paraît parler parole passer passion pays peine pensée père personnes peuple peut-être place poëte porte pouvait premier présente presque prince propre qu'à qu'un raison regards remarque rendre requin reste rien s'en s'est s'il semble sentiment serait servir seul soleil sort souvent suite tems terre Thésée tion traits trouve venir vent vérité voit voix Voltaire voyait yeux
Fréquemment cités
Page 45 - Zénobie, qui agitent votre empire, ni la guerre que vous soutenez virilement contre une nation puissante depuis la mort du roi votre époux, ne diminuent rien de votre magnificence. Vous avez préféré à toute autre contrée les rives de l'Euphrate pour y élever un superbe édifice : l'air y est sain et tempéré, la situation en est riante, un bois sacré l'ombrage du côté du couchant ; les dieux de Syrie, qui habitent quelquefois la terre, n'y auraient pu choisir une plus belle demeure ;...
Page 45 - Zeuxis de votre siècle déploient toute leur science sur vos plafonds et sur vos lambris ; tracez-y de vastes et de délicieux jardins , dont l'enchantement soit tel qu'ils ne paraissent pas faits de la main des hommes ; épuisez vos trésors et votre industrie sur cet ouvrage incomparable ; et après que vous y aurez mis, Zénobie, la dernière main, quelqu'un de ces pâtres qui habitent les sables voisins de Palmyre , devenu riche par les péages de vos rivières , achètera...
Page 45 - ... pu choisir une plus belle demeure. La campagne autour est couverte d'hommes qui taillent et qui coupent, qui vont et qui viennent, qui roulent ou qui charrient le bois du Liban, l'airain et le porphyre; les grues et les machines gémissent dans l'air, et font espérer à ceux qui voyagent vers l'Arabie de revoir à leur retour en leurs foyers ce palais achevé, et dans cette splendeur où vous désirez de le porter avant de l'habiter, vous et les princes vos enfants.
Page 45 - Il s'est trouvé des filles qui avaient de la vertu, de la santé, de la ferveur et une bonne vocation, mais qui n'étaient pas assez riches pour faire dans une riche abbaye vœu de pauvreté.
Page 42 - Tu te trompes, Philémon, si, avec ce carrosse brillant, ce grand nombre de coquins qui te suivent, et ces six bêtes qui te traînent, tu penses que l'on t'en estime davantage; l'on écarte tout cet attirail qui t'est étranger, pour pénétrer jusqu'à toi qui n'es qu'un fat.
Page 61 - Conon , le plus célèbre des astronomes de son tems , vraisemblablement gagné par les prêtres , feignit d'avoir vu la chevelure transportée et placée dans le firmament. Il y avait alors entre les quatre astérismes de la Vierge , du Lion , de la grande Ourse et...
Page 38 - BALZAC avaient les premiers rencontré, et que tant d'auteurs depuis eux ont laissé perdre ; l'on a mis enfin dans le discours tout l'ordre et toute la netteté dont il est capable : cela conduit insensiblement à y mettre de l'esprit.
Page 53 - Valerius, son père, que descendait et logeait César toutes les fois qu'il passait par Vérone, et l'on voit encore aujourd'hui , dans la presqu'île du lac voisin de cette ville , les restes d'un ancien édifice qu'on croit avoir été sa maison de campagne, la même qu'il a chantée en vers si charmans , et dont le séjour lui fit oublier ses peines et ses travaux.
Page 67 - Thésée; elle lui parle, elle l'interroge comme s'il était présent, et qu'il pût l'entendre, la plaindre et la consoler. Eclairée enfin sur son sort, convaincue de la réalité de son abandon et de l'inutilité de ses plaintes , Ariadne a peine à se regarder comme la seule femme qui ait été ainsi délaissée ; et passant de l'individu à l'espèce , elle conclut que tous les amans sont faux, parjures et infidèles.
Page 45 - L'énergie de l'expression dépend de la force avec laquelle l'écrivain s'est pénétré du sentiment ou de l'idée qu'il a voulu rendre. Ainsi la Bruyère , s'élevant contre l'usage des serments , dit : « Un honnête « homme qui dit oui, ou non, mérite d'être cru; son caractère jure
Informations bibliographiques
| Titre | Mélanges de littérature, Volume 2 Mélanges de littérature, Jean Baptiste Antoine Suard |
| Rédacteur | Jean Baptiste Antoine Suard |
| Éditeur | Dentu, an XII (1803)-an XIII, 1806 |
| Original provenant de | l'Université du Michigan |
| Numérisé | 24 juin 2005 |
| Exporter la citation | BiBTeX EndNote RefMan |