Chronique d'Abou ZakariaÉmile Masqueray V. Aillaud, 1878 - 410 pages |
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Page xxi
... guerre jusqu'à ce qu'ils obéissent aux ordres d'Allah . Il est permis de les bannir et de les mettre à mort ; mais il est défendu de les dépouiller , de réduire leurs enfants en esclavage , d'ache- ver leurs blessés , de poursuivre ...
... guerre jusqu'à ce qu'ils obéissent aux ordres d'Allah . Il est permis de les bannir et de les mettre à mort ; mais il est défendu de les dépouiller , de réduire leurs enfants en esclavage , d'ache- ver leurs blessés , de poursuivre ...
Page xxii
... guerre sans re- lâche . Il est permis de les réduire en esclavage , de les dé- pouiller de leurs biens , et de verser leur sang tant qu'ils demeurent dans leur idolâtrie . Les Musulmans , suivant qu'Allah les récompense ou les éprouve ...
... guerre sans re- lâche . Il est permis de les réduire en esclavage , de les dé- pouiller de leurs biens , et de verser leur sang tant qu'ils demeurent dans leur idolâtrie . Les Musulmans , suivant qu'Allah les récompense ou les éprouve ...
Page xxxvi
... guerre , ils ont , commele Prophète lui - même , le droit d'engager la parole d'Allah . Leurs hommes vont au combat portant suspendus au cou un exemplaire du Koran et une épée : l'épée exécutera ce que prescrit le livre , elle donnera ...
... guerre , ils ont , commele Prophète lui - même , le droit d'engager la parole d'Allah . Leurs hommes vont au combat portant suspendus au cou un exemplaire du Koran et une épée : l'épée exécutera ce que prescrit le livre , elle donnera ...
Page xxxvii
... guerre était leur état ordinaire , la paix leur état exceptionnel . Les autres Ibadites faisaient les prières complètes chez eux , et les réduisaient à deux en voyage : les Chourat ré- citaient les prières complètes en voyage : et les ...
... guerre était leur état ordinaire , la paix leur état exceptionnel . Les autres Ibadites faisaient les prières complètes chez eux , et les réduisaient à deux en voyage : les Chourat ré- citaient les prières complètes en voyage : et les ...
Page liii
... guerre . Les chroniques nedjéennes ne mentionnent sous son règne ni massacres ni dévastations dans la plupart des provinces annexées , même dans le Kasim , où l'on aurait pu tout attendre de la colère du vainqueur . << Son fils aîné ...
... guerre . Les chroniques nedjéennes ne mentionnent sous son règne ni massacres ni dévastations dans la plupart des provinces annexées , même dans le Kasim , où l'on aurait pu tout attendre de la colère du vainqueur . << Son fils aîné ...
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Expressions et termes fréquents
Abbas Abd el Ouahâb Abd er Rahman Abou Abd Allah Abou Bilal Abou el Abou el Khottâb Abou el Qasim Abou er Rebi'a Abou Khezer Abou Nouh Abou Obeïda Abou Sofian Abou Tamim Abou Yezid Aïsa Arabes avaient Beni Mzab Berber Berbers Boçra chameaux Cheikh Cheikh Abou Chiites Chronique d'Abou Zakaria compagnons d'Ibn Dieu dirent Djabir Djebel Nefous Djerba doctrine Eïoub ensuite fasse miséricorde Felah fils gens Ghardaïa gouverneur Hadjib halqa Hasan homme Ibad Ibâdites Ibn Khaldoun Imâm Ketama Khalife Kharidjites Khelef Kirouân Koran l'Aouras l'islamisme l'Oman l'Ouâd Mezâb l'Oued Mzab Maghreb Mchèkh Mecque Mehdi ment Mo'aouïa Mo'atazilites Mohammed mort mosquée Mozab Mozabites Musulmans Nedjed Nefâts nommé Noukkar Obeïd Allah Omar Orthodoxes Otsman Ouahab Ouahbites Ouargla parole pélerinage prière Prophète qu'Abou qu'Allah l'agrée qu'Allah lui fasse Rahman ben Roustem religieuse religion répondit Rostemides secte seul siècle Sofrites sorte Tahèrt Tiaret Trablès tribu troupes trouver Yagoub zekka Zenata
Fréquemment cités
Page 107 - Nous serons, te dis-je, portés sur un cheval habitué aux courses nocturnes , un cheval de race berbère ; « Aux flancs sveltes comme un loup de Gada; un cheval qui presse sa course rapide, dont on voit les flancs ruisseler de sueur.
Page 244 - Son cadavre fut écorché et sa peau, remplie de paille, fut placée dans une cage pour servir de jouet à deux singes qu'on avait dressés à ce métier.
Page 227 - ... du gouvernement. Une forte muraille, garnie de portes en fer, l'entourait de tous les côtés, et chaque battant de porte pesait cent quintaux. On commença les travaux vers la fin de l'an 303 (juin 916). Quand les murailles furent élevées, le Mehdi y monta et lança une flèche du côté de l'occident.
Page 101 - ... sont les héritiers du royaume. Ainsi, après que le fils de Dieu a épousé la Pauvreté, bien qu'on y résiste, bien qu'on en murmure, elle est noble et considérable par cette alliance. Les pauvres, depuis ce temps-là, sont...
Page 247 - Tripoli, il fit partir un fort détachement de cavalerie, avec l'ordre do presser sa marche. Le lendemain, au matin, ce corps arriva à Sabra, dont les habitants, oubliant toute précaution, avaient ouvert les portes pour envoyer paître leurs bestiaux. Les [musulmans] pénétrèrent dans la ville sans que personne pût s'en échapper, et [l'armée...
Page xxvii - Ceux-ci pour le feu éternel ; » puis, avec la même indifférence, il jeta l'autre au ciel en ajoutant :
Page 213 - Ketamiens se joignit à AbouAbd-Allah ; leurs docteurs eurent des conférences avec lui et devinrent ses amis dévoués. Alors il leur déclara que l'imamat appartenait à un membre de la famille [de Mahomet], et il les invita à soutenir la cause de l'agréé (er-rida).
Page 241 - Takious et y passa son temps à enseigner. Entraîné par le fanatisme, il déclara infidèles les personnes qui professaient la religion (orthodoxe), décidant que, par ce fait même, elles avaient encouru la peine de mort, et la confiscation de leurs biens. Il posa aussi en principe l'obligation de se révolter contre le Sultan. En l'an...
Page 191 - L'une, qui est ouehbite, occupe la moitié occidentale de l'île et a pour chefs les Beni-Semoumen ; l'autre est nekkarite et habite la moitié orientale. La seule famille marquante est celle des Semoumen, son autorité étant reconnue également par les deux parties.
Page 212 - Chutes et, comme il montra une piété extrême et une grande abnégation de soi-même, il fit sur leurs esprits une profonde impression. Les fréquentes visites qu'il rendit à ces chefs, dans leur camp, furent aussi agréables pour lui que pour eux. Quand ils se disposèrent à partir pour leur pays, ils l'invitèrent à les y accompagner ; mais lui, qui tenait à cacher ses véritables projets, n'y donna son consentement qu'après avoir pris d'eux des renseignements sur leur peuple, leurs tribus,...