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ajoute à ses autres titres de gloire celui d'associer les études africaines aux études sénégalaises, par un juste pressentiment de l'avenir, m'a fait la faveur de m'écrire dans l'Aourâs ? Les Romains auraient gravé ces noms sur le bronze ou la pierre et leur auraient donné l'éternité de leurs temples. Qu'ils soient du moins transmis pieusement de livre en livre à nos descendants dans notre Afrique restaurée.

E. M

ERRATUM

Je regrette de n'avoir pas soumis, dans l'Introduction, l'orthographe des noms arabes transcrits en français à des règles assez rigoureuses. Je pensais que les noms qui s'y trouvent, étant connus, et passés en quelque sorte dans la pratique, il me suffisait de les écrire à peu près comme nous les écrivons tous en Algérie. Plus tard, quand je me trouvai engagé dans la traduction de la Chronique d'Abou Zakaria et surtout dans celle d'Ech Chemâkhi, je dus me faire une règle de transcription, à cause de la multitude de noms nouveaux qui s'y trouvent; mais alors l'Introduction était complétement terminée, et mes ressources ne me permettaient pas de la recommencer. D'ailleurs, ce défaut que je signale moi-même est à peu près sans conséquence, si l'on considère surtout la variété des systèmes adoptés par les personnes qui transcrivent en français des noms Arabes. Je veux seulement marquer que le mot Hazzaben doit être lu 'Assaben, dans l'Introduction comme dans la Chronique, que Zied doit être lu Zeid; Oued Mzâb, Ouâd Mezab; Rardaïa, Ghardaia; Beni Sjen, Beni Sgen. Quant aux règles que j'ai dû me faire dans le reste et surtout dans la seconde partie du volume, pour éviter quelques confusions, elles consistent à représenter:

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