| Pierre Henri Valenciennes - 1800 - 770 pages
...Boileau blâme ce défaut dans certains Poëtes , et sa critique tombe ea quelque sorte sur les Peintres. Un auteur quelquefois trop plein de son objet , Jamais sans l'épuiser n'abandonne un sujet. S'il rencontre un palais, il m'en dépeint la face, II me promène après de terrasse en terrasse.... | |
| Nicolas Boileau-Despréaux - 1800 - 354 pages
...s'en écarte, aussitôt on se noie. ; ï La raison pour marcher n'a souvent qu'nne voie. $ Un anteur quelquefois trop plein de son objet . \ Jamais sans l'épuiser n'abandonne un sujet. i • S'il rencontre un palais, il m'en dépeint la face ; II me promene après de terrasse en terrasse;... | |
| tome premier - 1800 - 354 pages
...ce qu'un antre a pu penser comme enz. Evitons ces excès : laissons à l'Italie f ) t'U» Un anteur quelquefois trop plein de son objet , Jamais sans l'épuiser n'abandonne un sujet. t S'il rencontre un palais, il m'en dépeint la face ; II me promene après de terrasse en terrasse... | |
| Ludwig Ideler - 1804 - 658 pages
...Pour peu qu'on s'en écarte, aussi-tôt on se nfeie. La raison pour marcher, n'a souvent qu'une voie, Un Auteur quelquefois trop plein de son objet, Jamais sans l'épuiser n'abandonne un sujet. S'il rencontre un palais, il m'en dépeint la face: ' II me promène après de terrasse eh terrasse... | |
| J. Louis R. Brunet (ed.) - 1807 - 280 pages
...Pour peu qu'on s'en écarte , aussitôt on se noie. La raison pour marcher n'a souvent qu'une voie. Un auteur quelquefois trop plein de son objet» Jamais sans l'épuiser n'abandonne un sujet. l Imitation de Martial : " Nisri fornicis ebrium poe'tam » Qui carbone rudi , putrique creta X. Stribit... | |
| Moustalon - 1810 - 512 pages
...ennuyeuse. Boileau , ce maître du goût, critique avec raison, cette manière de peindre ou de raconter : ( Un auteur, quelquefois trop plein de son objet , Jamais sans l'épuiser, n'abandonne un sujet. S'il rencontre un palais, il m'en dépeint la face.; Il me promène après de terrasse en terrasse.... | |
| Nicolas Boileau Despréaux - 1815 - 386 pages
...Pour peu qu'on s'en écarte, aussitôt on se noie. La raison pour marcher n'a souvent qu'une voie. Un auteur quelquefois trop plein de son objet Jamais sans l'épuiser n'abandonne un sujet. S'il rencontre un palais , il m'en dépeint la face ; Il me promène après de terrasse en terrasse... | |
| Capelle (M., Pierre Adolphe) - 1818 - 350 pages
...peu qu'on s'en écarte, aussitôt on se noie. La raison, pour marcher, n'a souvent qu'une voie. tin auteur quelquefois, trop plein de son objet , Jamais , sans l'épuiser, n'abandonne un sujet. S'il rencontre un palais, il m'en dépeint la face ; Il me promène après de terrasse en terrasse... | |
| Pierre Henri Valenciennes - 1820 - 684 pages
...Boileau blâme ce défaut dans certains Poètes, et sa critique tombe en quelque aorte sur les Peintres. Un auteur quelquefois trop plein de son objet , Jamais sans l'épuiser n'abandonne un sujet. S'il rencontre un palais , il m'en dépeint la face , II me promène après de terrasse en terrasse.... | |
| Nicolas Boileau-Despréaux - 1823 - 394 pages
...Pour peu qu'on s'en ecarte, aussitôt on se noie. La raison pour marcher n'a souvent qu'une voie. 1 Un auteur quelquefois trop plein de son objet Jamais sans l'épuiser n'abandonne- un sujet. S'il rencontre un palais , il m'an dépeint la face ; II me promène après de terrasse en terrasse... | |
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