Recueil des notices et mémoires de la Société archélologique de la province de Constantine, Volume 15 |
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... ils se jetèrent sur les caravansérails , les villages , les fermes et les villes , abattant tout à ras de terre et changeant ces lieux en une vaste solitude , après en avoir comblé les puits et coupé les arbres .
... ils se jetèrent sur les caravansérails , les villages , les fermes et les villes , abattant tout à ras de terre et changeant ces lieux en une vaste solitude , après en avoir comblé les puits et coupé les arbres .
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Recueil des notices et mémoires de la Société archélologique de ..., Volume 17 Affichage du livre entier - 1876 |
Recueil des notices et mémoires de la Société archélologique de ..., Volume 28 Affichage du livre entier - 1894 |
Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page 320 - El-Mecîla, ville située dans une plaine, est entourée de deux murailles, entre lesquelles se trouve un canal d'eau vive qui fait le tour de la place. Par le moyen de vannes on peut tirer de ce canal assez d'eau pour l'arrosement des terres.
Page 71 - Mas-Latrie, cité par de Beylié, les chrétiens africains et berbères avaient encore à la Kalaa une église dédiée à la Vierge Marie. Leur évêque habitait une maison voisine de l'église. C'est le dernier prélat indigène dont nous puissions constater l'existence.
Page 62 - Adjica, et leur livra bataille sur un terrain très-accidenté et au milieu de montagnes inaccessibles. La victoire qu'il remporta sur eux fut complète. Maître du champ de bataille, il tourna ses opérations contre le fort de Tenaker, que les Berbères appellent aujourd'hui Chiker; mais la garnison capitula sans coup férir.
Page 94 - La colonne marcha pendant toute celle journée, à travers un pays d'un accès très-difficile : elle prit position, dans la soirée, auprès de la rivière salée qui coule dans les Portes de fer sur le territoire de la tribu kabile des Beni-bou-Kton.
Page 55 - Abou-Abd-Allah se mit alors à semer des germes de mécontentement parmi les Ketama et à les exciter contre le Mehdi, « qui, disait-il, s'était approprié les trésors d'Ikdjan sans leur en avoir accordé la moindre partie, et qui pourrait bien n'être ni l'imam impeccable, ni la personne pour laquelle ils avaient tant travaillé à soutenir les droits...
Page v - A côté du monde indice-européen, du monde sémitique, du monde tartare, plaçons sans hésiter un monde africain, berbère, libyque, atlantique, comme on voudra l'appeler. Plus tard, nous verrons de quel côté il convient de chercher des congénères à cette classe nouvelle de langues et de peuples. Ce n'est pas seulement l'histoire, la philologie et l'épigraphie libyques qui parlent pour l'individualité de la race berbère. L'épigraphie latine nous rend ses dieux, dont le culte se conserva...
Page 50 - Ihn-Khaldoun, celle vaste région qui, depuis Tripoli jusqu'à Tanger, avait offert l'aspect d'un immense bocage, à l'ombre duquel s'élevait une foule de villages touchant les uns aux autres, ne montra plus que des ruines.
Page 192 - Moghreb, où ils se dépouillèrent de toutes les marques de leur origine et adoptèrent la vie nomade, afin d'échapper aux dangers qui les entouraient (I).
Page 58 - Takîous et y passa son temps à enseigner. Entraîné par le fanatisme, il déclara infidèles les personnes qui professaient la religion [orthodoxe] ; décidant que, par ce fait même, elles avaient encouru la peine de mort et la confiscation de leurs biens. Il posa aussi en principe l'obligation de se révolter contre le sultan. En l'an 316 (928-9), il se mit à faire la police des mœurs et travailla à supprimer les abus qui portaient scandale à la religion. De cette manière il gagna tant...
Page 65 - Djâfar, le chambellan, fut préposé à sa garde. Malgré toutes ces précautions, il mourut de ses blessures dans la nuit du dernier jeudi de moharrem, au moment où il parlait au khalife. On prétend que c'est une perte de sang qui occasionna sa mort.