Recueil des pièces de théâtre,Chez T. Hookham, 1785 |
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Expressions et termes fréquents
affez affure Agathe AGNELET ainfi Allons ANTOINE auffi avez BARON BARTHOLIN bian c'eft c'eſt CATAU cher cheux chofe COLETTE Comteffe COMTESSE D'ERVIERE D'OR BEL DESPARVILLE pere diable dire DOMESTIQUE Dorante drap Duc de BELLEGARDE Duc de SULLY écus Eft-ce eft-il eſt êtes étoit eune fans doute fçais femble fera feroit fervir feul fille fix aunes foir foit fommes fouper FRONTIN fuis GENDRE GRAND-PRE HENRI Henri IV homme j'ai j'en jufte l'inftant l'interrompant laiffer LUCAS Madame PATELIN Mademoiſelle Maître Majefté MARGOT Marquis de CONCHINY MDE VANDERK Meffieurs MICHA Monfieur Guillaume Monfieur le Duc Monfieur Michau morgué moutons n'eft neveu OFFICIER des Chaffes oncle paffer parbleu parler penfe perfonne plaifir préfent queftion raifon refte rien Rofalie Rofny ROSALIE s'eft SCENE VII Sire SOPHIE tems THIBAUT vais VALER VALERE VANDER VANDERK fils VANDERK pere veux VICTORINE VIERE voilà ΑΝΤΟΙΝ Ε
Fréquemment cités
Page 92 - La rime n'est pas riche, et le style en est vieux : Mais ne voyez-vous pas que cela vaut bien mieux Que ces colifichets dont le bon sens murmure , Et que la passion parle là toute pure? Si le roi m'avoit donné Paris, sa grand...
Page 84 - Un fils ! Mais il est apparemment dans le commerce, dans un état tranquille ; mais le mien, le mien est dans le service ' ; à l'instant que je vous parle, n'est-il pas occupé à se battre ! i° M.
Page 93 - Charmante Gabrielle , Percé de mille dards, Quand la gloire m'appelle Sous les drapeaux de Mars, Cruelle départie ! Malheureux jour! Que ne suis-je sans vie , Ou sans amour...
Page 28 - Je ne connais que deux états au-dessus du commerçant (en supposant encore qu'il y ait quelque différence entre ceux qui font le mieux qu'ils peuvent dans le rang où le ciel les a placés), je ne connais que deux états, le magistrat qui fait parler les lois et le guerrier qui défend la patrie.
Page 52 - Ah, mon père! vous me l'avez dit hier: vous avez été insulté; vous étiez jeune, vous vous êtes battu; vous le feriez encore. Ah, que je suis malheureux! je sens que je vais faire le malheur de votre vie. Non .... jamais .... Quelle leçon! .... vous pouvez m'en croire: si la fatalité .... M.
Page 74 - ... verra mal; voyez pour lui, portez sur lui toute votre attention; veillez à sa fuite, donnez-lui votre cheval ; faites ce qu'il vous dira, faites ce que la prudence vous conseillera. Lui parti, portez sur-le-champ tous vos soins à son...
Page 78 - Antoine ! Le maître d'hôtel, les gens, les commis, tout le monde demande M. Antoine. Il faut que j'aie la peine de tout. Mon père est bien étonnant : je le cherche partout, je ne le trouve nulle part. Jamais ici il n'ya eu tant de monde, et jamais... Eh ?... Quoi ?... Hein ?... Antoine, Antoine...
Page 25 - Dans l'âge où l'on ne choisit pas, j'ai eu le bonheur de bien choisir. Un jeune officier, venu en quartier d'hiver dans la province, trouva mauvais qu'un enfant de seize ans, c'était mon âge, attirât les attentions d'un autre enfant : votre mère n'avait pas douze ans.
Page 48 - Vous saurez donc que mon bon maître me paie petitement mes gages; et que, pour m'indommager, sans lui faire tort, je fais quelque petit négoce avec un boucher, homme de bien. M. PATELIN. Quel négoce fais-tu?
Page 8 - J'ai de ce côté-là, pour voisin, mon compère le juge du lieu — pas un pauvre petit procès. De cet autre côté, un riche marchand drapier — pas de quoi m'acheter un méchant habit — ah ! pauvre Patelin, pauvre Patelin, comment feras-tu pour contenter ta femme qui veut absolument que tu maries ta fille...