... mal ne vient jamais seul, les embarras où je me suis trouvé m'ont privé du plaisir de vous écrire la semaine passée ; vous me demanderez quel est cet embarras, c'était de faire ce que vous m'avez conseillé ; je me suis mis en pension chez un... (520 p.) - Page 42de Voltaire - 1839Affichage du livre entier - À propos de ce livre
| Voltaire - 1757 - 726 pages
...quel eft cet embarras , e'étoit de faire ce que vous m'avez confeillé ; je me fuis mis en penfion chez un Procureur , afin d'apprendre le métier de Robin , auquel mon père me deftine , & je crois par là regagner fon amitié. Si vous m'aimiez autant que je vous aime , vous... | |
| Arsène Houssaye - 1858 - 454 pages
...sûrement que je me tuerai à la première nouvelle que j'en aurai. Je me suis mis, perdant la tête, en pension chez un procureur, afin d'apprendre le métier de robin auquel mon père me destine ; me voilà fixé à Paris pour longtemps ; vous n'avez qu'un moyen pour y venir, car est-il possible... | |
| Arsène Houssaye - 1858 - 460 pages
...sûrement que je me tuerai à la première nouvelle que j'en aurai. Je me suis mis, perdant la tête, en pension chez un procureur, afin d'apprendre le métier de robin auquel mon père me destine j me voilà fixé à Paris pour longtemps ; vous n'avez qu'un moyen pour y venir, car est-il possible... | |
| Arsène Houssaye - 1858 - 274 pages
...sûrement que je me tuerai à la première nouvelle que j'en aurai. Je me suis mis, perdant la tête, en pension chez un procureur, afin d'apprendre le métier de robin auquel mon père me destine ; me voilà fixé à Paris pour longtemps ; vous n'avez qu'un moyen pour y venir, car est-il possible... | |
| Démonstrations - 1862 - 690 pages
...« queje me tuerai à la première nouvelle « que j'en aurai. Je me suis mis, perdant la « tête, en pension chez un procureur, afin « d'apprendre...métier de robin, auquel « mon père me destine; me voilà fixé à « Paris pour longtemps ; vous n'avez qu'un « moyen pour y venir, car est-il possible... | |
| Michel Ulysse Maynard - 1867 - 512 pages
...embarras du silence d'une semaine, il dit à Pimpette : « Vous me de(1) Duvernct, p. 40. manderez quel est cet embarras; c'était de faire ce que vous...destine, et je crois par là regagner son amitié. » Dans quelle autre voie serait entrée l'histoire d'Angleterre, at-on remarqué, si Charles I" ne... | |
| Voltaire - 1877 - 916 pages
..., les embarras où je me suis trouvé m'ont privé du plaisir de vous écrire , la semaine passée. Vous me demanderez quel est cet embarras ; c'était...de robin auquel mon père me destine , et je crois par-la regagner son amitié. Si vous m'aimiez autant que je vous aime , vous vous rendriez un peu à... | |
| Voltaire - 1880 - 630 pages
...seul, les embarras où je me suis trouvé m'ont privé du plaisir de vous écrire, la semaine passée. Vous me demanderez quel est cet embarras : c'était...m'avez conseillé. Je me suis mis en pension chez un procureur1, afin d'apprendre le métier de robin auquel mon père me destine, et je crois par là regagner... | |
| Émile Faguet - 1905 - 788 pages
...vient jamais seul, les embarras où je suis m'ont privé du plaisir de vous écrire la semaine passée. Vous me demanderez quel est cet embarras ; c'était de faire ce que vous m'avez conseillé [se réconcilier avec son père, comme ce qui suit le laisse à croire . Je me suis mis en pension... | |
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