Œuvres complètes, Volume 8P. Lethielleux, 1926 |
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Fréquemment cités
Page 298 - Donnez-nous aujourd'hui notre pain de chaque jour ; pardonnez-nous nos offenses comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés ; et ne nous laissez pas succomber à la tentation ; mais délivrez-nous du mal. Ainsi soit-il.
Page 412 - Jésus qui était debout à la droite de Dieu ; et il dit : Je vois les cieux ouverts, et le Fils de l'homme, qui est debout à la droite de Dieu.
Page 541 - Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de tout ton esprit, de toute ton âme, et le prochain comme toi-même.
Page 298 - N'OTRE Père, qui êtes aux cieux : Que votre nom soit sanctifié; Que votre règne arrive; Que votre volonté soit faite sur la terre comme au ciel...
Page 524 - Saint-Simon devient populaire, mon estime pour lui diminue. Certes, ses Mémoires sont un beau pays, et plantureux à merveille; mais il ya des fondrières et des bêtes venimeuses, et je n'aime pas à me promener en compagnie de ce duc enragé. L'esprit de dénigrement qui l'enfièvre lui fait plus de partisans que son talent extraordinaire et étrange. Il est à la mode, parce que, dans notre époque, féconde en statuettes, le plaisir le plus exquis est d'égratigner les statues.
Page 119 - Virgile n'a jamais laissé fuir de sa lyre Des vers qu'à Lycoris son Gallus ne pût lire. Toujours l'hymne d'Horace au sein des ris est né; Jamais il n'a versé de larmes immortelles : La poussière des cascatelles Seule a mouillé son luth, de myrtes couronné!
Page 343 - Juge de toutes choses, imbécile ver de terre, dépositaire du vrai , amas d'incertitude , gloire et rebut de l'univers : s'il se vante, je l'abaisse ; s'il s'abaisse, je le vante; et le contredis toujours , jusqu'à ce qu'il comprenne qu'il est un monstre incompréhensible.
Page 203 - La vie que tu vois n'est qu'une comédie', Où l'un fait le César, et l'autre l'Arlequin : Mais la mort la finit toujours en Tragédie, Et ne distingue point l'Empereur du faquin*.
Page 533 - L'autre, incrédule, haïsseuse, impie, blasphème et raille, et ne se soumet qu'à la force, pour laquelle elle se sent moins de haine que pour le devoir ; race révoltée contre la société humaine autant que contre Dieu. Les livres nés de cette race ne peuvent me plaire, puisque j'appartiens à l'autre. Dans la race dont je suis, il ya des tribus militaires ; je suis d'une de ces tribus.
Page 115 - L'oiseau vigilant nous réveille, Et ses chants redoublés semblent chasser la nuit : Jésus se fait entendre à l'âme qui sommeille, Et l'appelle à la vie où son jour nous conduit. « Quittez, dit-il, la couche oisive Où vous ensevelit une molle langueur : Sobres, chastes et purs, l'œil et l'âme attentive, Veillez : je suis tout proche et frappe à votre cœur.