C'est un sujet tout français et tout de mon invention , où j'ai fourré le plus que j'ai pu d'amour, de jalousie, de fureur, de bienséance, de probité et de grandeur d'ame. J'ai imaginé un sire de Couci, qui est un très... Œuvres complètes de Voltaire - Page 141de Voltaire - 1785Affichage du livre entier - À propos de ce livre
| Voltaire - 1784 - 522 pages
...qu'elle fut imprimée je commençai une pièce nouvelle. L'ordre des chofes demande, ce mefemble , que je vous dife ce que c'eft que cette pièce à...où j'ai fourré le plus que j'ai pu d'amour , de jaloulie , de fureur , de bienféance , de probité et de grandeur d'âme. J'ai imaginé un fire de... | |
| Voltaire - 1785 - 530 pages
...Londres, je vous crie fu^tout de vouloir bien comL'ordre des chofes demande, ce me femble, quejevous dife ce que c'eft que cette pièce à laquelle je...fureur, de bienféance , de probité et de grandeur d'ame. J'ai imaginé un fire de Coud , qui eft un très-digne homme comme on n'en voit guère à la... | |
| Voltaire - 1792 - 536 pages
...qu'elle fut imprimée je commençai une pièce nouvelle. L'ordre des chofes demande, ce me femble, que je vous dife ce que c'eft que cette pièce à...travaille à préfent. C'eft un fujet tout français & tout de mon invention, où j'ai fourré le plus que j'ai pu d'amour, de jaloufie, de fureur, de bienféance,... | |
| Voltaire - 1792 - 338 pages
...même qu'elle fut imprimée je cornmenqai une pièce nouvelle. L'ordre des chofes demande, cemefemble, que je vous dife ce que c'eft que cette pièce à...laquelle je travaille à préfent. C'eft un fujet tout fttnqais et toi t de mon invention, où j'ai fourré '* p'-us que j'ai pu d'amour, de jaloufie, de... | |
| Voltaire - 1821 - 582 pages
...que je vous dise ce,que c'est que cette pièce à laquelle je travaille à présent. C'est un sujet tout français et tout de mon invention, où j'ai fourré le plus que j'ai pu d'amour, de jalousie, de fureur, de bienséance, de probité et de grandeur d'âme. J'ai imaginé un sire de Couci,... | |
| Voltaire - 1839 - 542 pages
...dise ce que c'est que cette pièce à laquelle je travaille à présent. C'est un sujet tout francais et tout de mon invention , où j'ai fourré le plus que j'ai pu d'amour, de jalousie, de fureur j de bienséance, de probité et de grandeur d'ame. J'ai imaginé un sire de Gouci,... | |
| Voltaire - 1839 - 536 pages
...que je vous dise ce que c'est que cette pièce à laquelle je travaille à présent. C'est un sujet tout français et tout de mon invention , où j'ai fourré le plus que j'ai pu d'amour, de jalousie, de fureur, de bienséance, de probité et de grandeur d'ame. J'ai imaginé un sire de Couci,... | |
| 1846 - 1168 pages
...Adélaïde Du, Guésclin à laquelle il travaillait alors, disait (2V février 1733) : « C'est un sujet tout français et tout de mon invention, où j'ai fourré le plus que j'ai pu (1) Ce nom de fantaisie, miss Black, semble avoir été donné pour faire contraste et contre-vérité... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1852 - 550 pages
...Adélaïde Du Guesdin à laquelle il travaillait alors, disait (24 février 1733) : «C'est un sujet tout français et tout de mon invention, où j'ai fourré le plus que j'ai pu d'amour, de jalousie, de fureur, de bienséance, de probité et de grandeur d'âme. J'ai imaginé un sire de Couci,... | |
| Voltaire - 1860 - 1148 pages
...que je vous dise ce que c'est que cette pièce à laquelle je travaille à présent. C'est un sujet tout français, et tout de mon invention, où j'ai fourré le plus que j'ai femme: mais j'aime mieux rapporter le bon mot de milord Bolingbroke, que de circrmstancier l'infamie... | |
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