 OBI, je vous injurierai jusqu'à ce que je vous aie guéri de votre paresse. Je ne vous reproche point de souper tous les soirs avec M. de La Poplinière, je vous reproche de borner là toutes vos pensées et toutes vos espérances. Vous...  Œuvres complètes de Voltaire - Page 272de Voltaire - 1785Affichage du livre entier - À propos de ce livre
 | Voltaire - 1784 - 522 pages
...mains. LETTRE CXLII. A M. THIRIOT , à Paris. Lunéville, le 12 juin. i, je vous injurierai jufqu' à ce que je vous aye guéri de votre parefle. Je ne...vous n'avez d'exiftence que depuis dix heures du foir jufqu'àdeux heures après minuit. Il n'ya foupeur qui fe couche ni bégueule qui fe lève plus tard... | |
 | Voltaire - 1785 - 530 pages
...1735. LETTRE CXLII. A M. THIRIOT, à Paris. * Luncville, le 12 juin. 01, je vous injurierai julqu a ce que je vous aye guéri de votre parefle. Je ne...fouper, et vous n'avez d'exiftence que depuis dix heuresdu foir jufqu'àdeux heures après minuit. Il n'ya foupeur qui fe couche ni bégueule qui fe... | |
 | Voltaire - 1792 - 338 pages
...le li juin» Vyur, je vous injurierai jufLju'à ce que Je *00' aye guéri de votre pareffe. Je n« vous reproche point de fouper tous les foirs avec M. de la Pophtiière , je vous reproche de borner !à routes vos penfées et toutes vos efpérances. Vous vjve*comitiî... | |
 | Louis Philipon de la Madelaine - 1816 - 394 pages
...jusqua ce que je vous aie guéri de votre paresse. Je ne vous reproche point de souper tous les soirs avec M. de la Poplinière; je vous reproche de borner là toutes vos pensées et toutes vos espérances. Vous vivez comme si l'homme avait été créé uniquement pour... | |
 | Voltaire - 1821 - 582 pages
...jusqu'à ce que je vous aie guéri de votre paresse . Je ne vous reproche point de souper tous les soirs avec M/ de La Poplinière, je vous reproche de borner là toutes vos pensees et toutes vos espérances. Vous-vivez comme si l'homme avait été créé uniquement pour souper,... | |
 | Écrivains français - 1848 - 364 pages
...jusqu'à ce que je vous aie guéri de votre paresse. Je ne vous reproche point de souper tous les soirs avec M. de la Poplinière, je vous reproche de borner là toutes vos pensées et toutes vos espérances. Vous vivez comme si l'homme avait éte créé uniquement pour souper,... | |
 | Antonin Roche - 1854 - 704 pages
...jusqu'à ce que je vous aie guéri de votre paresse. Je ne vous reproche point de souper tous les soirs avec M. de La Poplinière ; je vous reproche de borner là toutes vos pensées et toutes vos espérances. Vous vivez comme si l'homme avait été créé uniquement pour... | |
 | Alexandre Rodolphe Vinet - 1857 - 624 pages
...jusqu'à ce que je vous aie guéri de votre paresse. Je ne vous reproche point de souper tous les soirs avec M. de la Poplinière, je vous reproche de borner là toutes vos pensées et toutes vos espérances. Vous vivez comme si l'homme avait été créé uniquement pour... | |
 | Eugène Noël - 1878 - 376 pages
...prévenir. Voltaire lui écrivit donc : « .... Je ne vous reproche point de souper tous les « soirs avec M. de la Poplinière, je vous reproche de « borner là toutes vos pensées et toutes vos espé« rances. Vous vivez comme si l'homme avait été créé « uniquement... | |
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