| Voltaire - 1784 - 522 pages
...femble même que je ne fuis point du tout fait pour les paffions. Je trouve qu'il ya en moi du 17I«- ridicule à aimer, et j'en trouverais encore davantage dans celles qui m'aimeraient. Voilà qui eft fait; j'y renonce pour la vie. Je fuis fenfiblement affligé de voir que votre colique ne vous... | |
| Voltaire - 1785 - 526 pages
...femble même que je ne fuis point du tout fait — pour les payions. Je trouve qu'il ya en moi du I71"' ridicule à aimer, et j'en trouverais encore davantage dans celles qui m'aimeraient. Voilà qui eft fait; j'y renonce pour la vie. Je fuis fenfiblement affligé de voir que votre colique ne vous... | |
| Voltaire - 1792 - 338 pages
...eftimable mille fois que l'amour. Il me femble même que je ne fuis point du tout fait pour les paffions. Je trouve qu'il ya en moi du ridicule à aimer, et j'en trouverais encore davantage dans celles qui m'aimelaient. Voilà qui eft fait ; j'y renonce pour la vie. Je fuis fenfiblement affligé de voir... | |
| Voltaire - 1792 - 488 pages
...eftimable mille fois que l'amour. Il me ftmble même que je ne fuis point du tout fait pour les paillons. Je trouve qu'il ya en moi du ridicule à aimer, et j'en trouverais encore davantage dans celles qui m'aimei aient. Voilà qui eft fait ; j'y renonce pour la vie. Je fuis fenlib'ement affligé de voir... | |
| Charles Pierre Girault-Duvivier - 1827 - 784 pages
...Affecta d'enfermer moins de mots que de sens. (Boileau, l'Art poétique, chant II.) Être AFFtioi : Je suis sensiblement AFFLIGÉ DE voir que votre colique ne vous quitte point. (Voltaire.) S'AFFJ.ICER : On ne s'est jamais peut-être avise de S'AFvr.iGF.il DE n'avoir pas trois... | |
| Charles Pierre Girault-Duvivier - 1830 - 762 pages
...d'enfermer moins de mots que de sens. ;,;, i ;,-,i.,-, l'Art poétique, chant II.) Être AFFLIGÉ : Je suis sensiblement AFFLIGÉ DE voir que votre colique ne vous quitte point. (Voltaire.) S'AFFLIGER: On ne s'est jamais peut-être avise de S'AFFLIGER DE n'avoir pas trois yeux,... | |
| Voltaire - 1839 - 542 pages
...d'un prix plus estimable mille fois que l'amour. Il me semble même que je ne suis point du tout fait pour les passions. Je trouve qu'il ya en moi du ridicule...commencer ma lettre par là, mais ma guérison, dont je me flatte, m'avait fait oublier vos maux pour un petit moment. S'il ya quelques nouvelles, mandez-les-moi... | |
| Voltaire - 1839 - 536 pages
...d'un prix plus estimable mille fois que l'amour. Il me semble même que je ne suis point du tout fait pour les passions. Je trouve qu'il ya en moi du ridicule...commencer ma lettre par là, mais ma guérison, dont je me flatte, m'avait fait oublier vos maux pour un petit moment. inne et Vautre rétablies à mon... | |
| Romain Cornut - 1844 - 128 pages
...jamais. Il écrivait à l'âge de vingt-deux ans : « II me semble que je ne « suis point du tout fait pour les passions; je trouve « qu'il ya en moi du ridicule à aimer. » Toutes ses actions, toutes ses démarches étaient calculées, et couvraient presque toujours quelque... | |
| Napoléon Landais - 1845 - 650 pages
...sum l'a/ Je louer avec exagération des hommes asset médiocres. (LA BRUYÈRE.) . ÊTRE AFFLIGÉ : Je suis sensiblement affligé de voir que votre colique ne vous quitte point. (VOLTAIRE.) S'AFFLIGER : On ne s'est jamais peut-être avisé de s'attlijjer de n'avoir pas trois yeux,... | |
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