| Voltaire - 1784 - 504 pages
...génie fe fut perfectionné, ces talens, qui fouventfontl'exclufion de la fortune, firent la fienne. Il eut plus que de la fortune , il eut la faveur , et quelquefois la familiarité d'un maître dont un regard était un bienfait; il était, en 1688 et 1689, de ces voyages de Marly, tant brigués... | |
| Voltaire - 1785 - 506 pages
...génie fe fut perfectionné, ces talens, qui fouvent font l'exclufion de la fortune , firent la fienne. Il eut plus que de la fortune , il eut la faveur , et quelquefois la familiarité d'un maître dont un regard était un bienfait; il était, en 1688 et 1689, de ces voyages de Marly, tant brigués... | |
| Voltaire - 1785 - 508 pages
...génie fe fut perfectionné, ces talens, qui fouventfontl'exclufion de la fortune, firent la fienne. Il eut plus que de la fortune , il eut la faveur , et quelquefois la familiarité d'un maître dont un regard était un bienfait; il était, en 1688 et 1689, de ces voyages de Marly, tant brigués... | |
| Voltaire - 1785 - 498 pages
...perfectionné , ces talens , qui * fouvcnt font l'exclufion de la fortune , firent 174o- la fienne. Il eut plus que de la fortune, il eut la faveur, et quelquefois la familiarité d'un, maître dont un regard était un bienfait ;il était, en 1688 et 1689, de ces voyages de Marly, tant brigués... | |
| Voltaire - 1785 - 502 pages
...perfectionné , ces talens , qui E4 fouvent font l'exclufion de la fortune, firent i 74o- la fienne. Il eut plus que de la fortune, il eut la faveur, et quelquefois la familiarité d'un maître dont un regard était un bienfait ; il était, en 1688 et 1689 •> de ces voyages de Marly, tant brigués... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1816 - 424 pages
...Corneille, deux dans les troupes, et l'autre dans l'Eglise; il excita le mérite naissant de Racine, par un présent considérable pour un jeune homme inconnu et sans bien; et quand ce génie se fut perfeciionné, ces talens, qui souvent sont l'exclusion de la fortune, firent la sienne. 11 eut plus... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1816 - 430 pages
...se fut perfectionné, ces talensi qui souvent sont l'exclusion de la fortune, firent la sienne. 11 eut plus que de la fortune, il eut la faveur et quelquefois la familiarité d'un maître dont un regard étoit un bienfait. Il étoit en i668 et i689, de ces voyages de Marly, tant brigués... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1827 - 422 pages
...Corneille , deux dans les troupes , et l'autre -dans l'Eglise ; il excita le mérite naissant de Racine, par un présent considérable pour un jeune homme...faveur et quelquefois la familiarité d'un maître dont un regard étoit un bienfait. Il étoit» en 1 688 et 1 689 , de ces voyages de Marly tant brigués... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1827 - 426 pages
...Corneille , deux dans les troupes , et l'autre dans l'Eglise ; il excita le mérite naissant de Racine, par un présent considérable pour un jeune homme...faveur et quelquefois la familiarité d'un maître dont un regard étoit un bienfait. Il étoit? en 1688 et 1689 , de ces voyages de Marly tant brigués... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1831 - 384 pages
...Corneille » deux dans les troupes, et l'autre dans l'Eglise; il excita le mérite naissant de Racine, par un présent considérable pour un jeune homme...quand ce génie se fut perfectionné, ces talents, qui so«>vent sont l'exclusion de la fortune, firent la sienne. Il ei^t plus que de la fortune, il eut... | |
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