Œuvres de Voltaire, Volume 1 ;Volume 13Chez Stoupe, Imprimeur, 1792 |
Expressions et termes fréquents
Adieu adreffé affez affurément afile aimable aime ainfi alteffe royale anges auffi avez beaux befoin belle bonheur bontés c'eft c'eſt cavagnole charmant cher ami cher Cideville chofe Cirey cœur complimens confeil confolation d'Argental daignez Deffant Délices Dieu difait digne dire efprit embraffe envoyé eſpèce eſt êtes fage faifait faint fais fans doute fanté favez favoir femble fens fentimens fentir ferait Ferney fervir feul fiècle fociété foit fommes font Formont fottifes fouhaite fouper fous fouvent fuis fur-tout gens gloire goût grace heureux homme j'ai j'aime j'aurais jamais jolie jufte l'abbé l'efprit l'honneur laiffé lettre long-temps Louis XIV MADAME DE POMPADOUR Madame Denis madame du Châtelet mademoiſelle MARQUIS DE VILLETTE meffieurs Monfieur Mufe n'ai n'eft n'eſt paffer parler penfer perfonne philofophe plaifir plaifirs plaire Potſdam préfent prefque princeffe Pruffe raiſon reconnaiſſance refpect refte rien rois s'eft talens tendre tragédie trifte Voilà Voltaire
Fréquemment cités
Page 427 - Ici gît, ou plutôt frétille, Voisenon, frère de Chaulieu. A sa muse vive et gentille Je ne prétends point dire adieu ; Car je m'en vais au même lieu, Comme un cadet de la famille.
Page 414 - Vous ne pouvez empêcher cet hommage , Faible tribut de quiconque a des yeux. C'est aux mortels d'adorer votre image ; L'original était fait pour les dieux. J'ai entendu plusieurs morceaux de la Pandore de M. de La Borde ; ils m'ont paru bien dignes de votre protection. La faveur donnée aux véritables beaux-arts, est la seule chose...
Page 228 - Sincère et tendre Pompadour, Car je peux vous donner d'avance Ce nom qui rime avec l'amour Et qui sera bientôt le plus beau nom de France, Ce tokai, dont Votre Excellence Dans Étiolles me régala, N'at-il pas quelque ressemblance Avec le Roi qui le donna?
Page 308 - En tout pays on se pique De molester les talents; Goldoni voit maint critique Combattre ses partisans. On ne savait à quel titre On doit juger ses écrits ; Dans ce procès on a pris La nature pour arbitre. Aux critiques , aux rivaux , La nature a dit sans feinte : Tout auteur a ses défauts, Mais ce Goldoni m'a peinte.