Regards sur la France d'Afrique: parle général ManginLibrairie Plon, 1924 - 308 pages |
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... verneur ziride , qui s'était révolté contre le Khalife fatémide du Caire . Les Berbères ne surent pas s'unir à temps contre l'envahisseur et subirent une ter- rible défaite . Ces envahisseurs n'étaient certaine- ment pas plus ALGÉRIE 15.
... verneur ziride , qui s'était révolté contre le Khalife fatémide du Caire . Les Berbères ne surent pas s'unir à temps contre l'envahisseur et subirent une ter- rible défaite . Ces envahisseurs n'étaient certaine- ment pas plus ALGÉRIE 15.
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... ment pas plus de 200 000 , et ils ne purent modifier profondément le fond de la race , comme on l'a dit quelquefois , mais ils ajoutèrent un élément de désordre à tous ceux qui existaient déjà dans l'Afrique du Nord . Je passe sur l ...
... ment pas plus de 200 000 , et ils ne purent modifier profondément le fond de la race , comme on l'a dit quelquefois , mais ils ajoutèrent un élément de désordre à tous ceux qui existaient déjà dans l'Afrique du Nord . Je passe sur l ...
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... ment , tous les trois ans depuis la fin du seizième siècle . Le pouvoir du pacha s'appuyait sur une milice analogue à celle des janissaires , les Yoldachs , qui , dans chaque ville , formait un groupement , le Oudjak ( fourneau ) , et ...
... ment , tous les trois ans depuis la fin du seizième siècle . Le pouvoir du pacha s'appuyait sur une milice analogue à celle des janissaires , les Yoldachs , qui , dans chaque ville , formait un groupement , le Oudjak ( fourneau ) , et ...
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... ment ) , enfin le gharama ou lezma , capitation sur les nomades , les gens des oasis ou leurs palmiers . A Alger , d'autres produits s'ajoutaient aux impôts coraniques : le quint ( cinquième ) , sur les prises des corsaires , les ...
... ment ) , enfin le gharama ou lezma , capitation sur les nomades , les gens des oasis ou leurs palmiers . A Alger , d'autres produits s'ajoutaient aux impôts coraniques : le quint ( cinquième ) , sur les prises des corsaires , les ...
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... ment ses préparatifs militaires . L'Angleterre , troublée , offrit tout d'un coup sa coopération ; le prince de Polignac accepta l'offre du duc d'Aberdeen , mais fort heureusement Welling- ton , alors président du Conseil , revint sur ...
... ment ses préparatifs militaires . L'Angleterre , troublée , offrit tout d'un coup sa coopération ; le prince de Polignac accepta l'offre du duc d'Aberdeen , mais fort heureusement Welling- ton , alors président du Conseil , revint sur ...
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Expressions et termes fréquents
Affaires étrangères africaine Afrique Alger Almoravides Arabes assez avaient Bambaras bataillon Bélédougou Berbères budget Bugeaud çais camp capitaine chef civil civilisation colonel Archinard coloniale colonisation colonne combat commandant commencement compagnies Congo conquête côte coup d'Alger débarquement dynastie effectifs Égypte égyptien El-Hiba envoyé équatoriale établi Européens Fachoda force fran française fusils Galliéni général Duchesne gouvernement gouverneur général guerre harka hilalienne hommes Hovas indigènes Italiens Kabylie kilomètres l'Algérie l'amiral l'Angleterre l'armée l'artillerie l'Espagne l'Islam l'occupation l'organisation lord Lyautey Madagascar marabout Marchand marche maréchal maréchal Clauzel marine Maroc marocain Marrakech massacre ment mètres métropole militaire millions mission musulmans Niger noirs Nord occidentale officiers organisation pays peuhl peuple politique population ports poste prestige prince de Polignac protectorat race ravitaillement Régence région résident général reste résultat Romains route Sahara Samory Ségou Sénégal seulement siècle sofas soldats Soudan Sultan Tananarive Tchad territoire tion tirailleurs Tombouctou toucouleur traité tribus troupes Tunis Tunisie
Fréquemment cités
Page 58 - Ceux qui ne sont pas blessés mortellement pourront se réjouir d'un aussi beau succès; pour moi, je suis heureux d'avoir encore pu faire quelque chose pour le roi et pour la France.
Page 28 - ... préparatifs. Le roi veut que l'expédition se fasse, et elle se fera. — Vous croyez donc que l'on ne s'y opposera pas ?... — Sans doute, qui l'oserait ? — Qui ?... nous les premiers. — Milord, lui dis-je...
Page 61 - Il ya, ajoutait-il, un système qu'il faut abandonner, c'est le système de la multiplication des postes retranchés. Je n'en connais pas de plus déplorable. Il nous a fait un mal affreux... Que diriez-vous d'un amiral qui, chargé de dominer la Méditerranée, amarrerait ses vaisseaux...
Page 93 - Le Gouvernement de la République française et le Gouvernement de Son Altesse le Bey de Tunis se réservent de fixer, d'un commun accord, les bases d'une organisation financière de la Régence, qui soit de nature à assurer le service de la Dette publique et à garantir les droits des créanciers de la Tunisie.
Page 227 - Est-ce qu'il ne vous apparaît pas que, pour toutes les grandes nations de l'Europe moderne, dès que leur puissance industrielle est formée, se pose l'immense et redoutable problème, qui est le fond même de la vie industrielle, la condition de l'existence : la question du débouché? Est-ce que vous ne voyez pas toutes les grandes nations industrielles arriver tour à tour à la politique coloniale? Est-il permis de dire que...
Page 54 - Changarnier et lui racontèrent ce que le maréchal venait de leur dire, peu d'instants auparavant, dans sa tente : « Si je recevais une blessure, je me hâterais de mettre aux arrêts tous les officiers supérieurs en grade à Changarnier ou plus anciens que lui. Si je suis tué, ma foi, dépêchez-vous de vous insurger et de décerner le commandement à Changarnier, sinon vous êtes tous... perdus!
Page 127 - Tanger a eu pour but de faire savoir que je suis décidé à faire tout ce qui est en mon pouvoir pour sauvegarder efficacement les intérêts de l'Allemagne au Maroc, puisque je considère le Sultan comme souverain absolument libre.
Page 34 - Les nations civilisées des deux mondes ont les yeux fixés sur vous ; leurs vœux vous accompagnent. La cause de la France est celle de l'humanité ; montrez-vous dignes de votre noble mission. Qu'aucun excès ne ternisse l'éclat de vos exploits. Terribles dans le combat, soyez justes et humains après la victoire ; votre intérêt le commande autant que le devoir.
Page 13 - Le naturel farouche des Arabes en a fait une race de pillards et de brigands. Si les Arabes ont besoin de pierres pour servir à l'appui de leur marmite, ils dégradent les bâtiments afin de se les procurer ; s'il leur faut du bois, ils détruisent les toits des maisons pour en avoir... hostiles à ce qui est édifice... toujours prêts à enlever de force le bien d'autrui...
Page 82 - Rien de ce qui se passe à Tunis ne peut être indifférent au Gouvernement français; aussi depuis longtemps at-il considéré la Régence comme un pays destiné à graviter dans l'orbite des intérêts français, et devant être soumis à notre influence.