La Revue de ParisBureau de la Revue de Paris., 1910 |
Autres éditions - Tout afficher
Expressions et termes fréquents
Albert Besnard amie amour anglaise Antonine Arthur Dillon aurait avaient Balzac Belloche Besnard Biesme Björnson c'était candidats chasse chère chose cœur comète comète de Halley COMTE Conseil exécutif CORENTIN côte de Biesme coup décret demanda devant Dieu docteur Métayer Dumouriez ÉTIENNE Fanny Meller Fédération républicaine femme fenêtre fille Forgault Galbaud Gavina général George Meredith Georges de Porto-Riche GLADYS greffe Hélène Duluc Henry Bataille homme IRÈNE j'ai jamais Jeanne jeune jour l'armée l'homme laisse lettre madame Aristide madame Augé madame Chevallier madame Delafosse madame Derol madame Dillon madame Duluc madame Zoseppa mademoiselle main maison ment Michel Bertin ministre monde monsieur Aristide mort n'avait n'était Norvège parler Paska passé passion pauvre pays pensée petite pétrole poète Poliche presque Priamo prison de verre qu'un radical regarda reste rien Roumanie s'est s'était s'il savait semble sentiment serait seulement socialistes soir sondage sorte Théobald Dillon tion trouve voilà voix yeux
Fréquemment cités
Page 164 - et nous tremblons qu'un témoin ne s'en aperçoive... Ah! si, par hasard, c'était Willoughby qui se moquait de nous!... S'il nous criait, soudain, avec un ricanement satanique : Tu le connais, lecteur, ce monstre délicat, — Hypocrite lecteur. — mon semblable, — mon frère". D'ailleurs, la chose est arrivée... Robert-Louis Stevenson rapporte
Page 589 - tendant à troubler l'Etat par une guerre civile en armant les citoyens les uns contre les autres et contre l'exercice de l'autorité légitime, par suite de laquelle, dans le courant de ventôse dernier, des conjurés devaient dissoudre la représentation nationale, assassiner ses membres et les patriotes; détruire le gouvernement républicain, s'emparer de la souveraineté du peuple, rétablir la monarchie et donner un tyran à l'Etat.
Page 585 - Nous vous invitons à nous tracer définitivement une règle de conduite sur cette réclamation, l'ordre judiciaire ne nous fournissant aucun moyen de motiver ce refus sans un décret. » Ce décret, Saint-Just va le fournir; mais encore y faut-il une apparence, et cette apparence, Dillon la donnera,
Page 351 - Tout est bien, sortant des mains de l'auteur des choses, tout dégénère entre les mains de l'homme ». C'est
Page 579 - de Capet, sera séparé de sa mère et placé dans un appartement à part, le mieux défendu de tout le local du Temple ; « Et sera le dit arrêté mis au carton des pièces secrètes avec la dénonciation qui y demeurera annexée, après qu'expédition du tout aura été transmise au citoyen maire de Paris.
Page 579 - pour laquelle je n'accuse pas les intentions du Comité, mais que son incapacité n'a pu déjouer. Je conclus au renouvellement du Comité et je demande qu'il ne s'érige plus en chambre haute et qu'il ne royalise plus ses fonctions. » Le dernier mot porte et Saint-André proteste que le Comité n'est qu'une émanation de la représentation nationale,
Page 585 - Dillon, qui ordonna à son armée de marcher sur Paris, a déclaré que la femme de Desmoulins avait touché de l'argent pour exciter un mouvement pour assassiner les patriotes et le Tribunal révolutionnaire.
Page 579 - Je sais, dit-il, qu'il ya au comité de Salut public des patriotes. Ils ont toute ma vénération, mais, cependant, on ne peut se dissimuler que c'est sous son règne que sont arrivés les désastres les plus humiliants pour la République; je vais vous le prouver. C'est depuis à peu près trois semaines que, sur
Page 589 - II est constant qu'il a existé une conspiration contre la liberté et la souveraineté du peuple, tendant à troubler l'Etat par une guerre civile en armant les citoyens les uns contre les autres et contre l'exercice de l'autorité légitime, par suite de laquelle, dans le courant de ventôse dernier,
Page 587 - Dans la nuit d'hier, dit-il, les portes des prisons devaient être ouvertes à ces monstres par les soins d'un concierge qu'ils avaient gagné. Tous les prisonniers et leurs complices du dehors devaient se réunir sous le commandement de Dillon et se porter