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CONSTANTINE.

TYPOGRAPHIE L. ARNOLET.

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L. ARNOLET, Libraire-Éditeur, rue du Palais

ALGER

JOURDAN, LIBRAIRE-ÉDITEUR

Place du Gouvernement

PARIS

CHALLAMEL AÎNÉ, ÉDITEUR
30, rue des Boulangers

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AVANT-PROPOS

Ce volume est le dix-septième des Notices et Mémoires de la Société archéologique de Constantine. Son importance, nous aimons à le croire, ne le cède pas à celle des précédents et nous conservera les suffrages des hommes considérables, des érudits, des Sociétés savantes qui suivent nos travaux avec un si bienveillant intérêt et qui nous ont déjà donné tant de marques d'encouragement.

La plus flatteuse est la récompense qui nous a été accordée dans la dernière réunion des Sociétés savantes à la Sorbonne, par la section d'Archéologie. Notre Société a reçu une des trois médailles d'or distribuées « aux Sociétés savantes des Départements dont les travaux auront contribué le plus efficacement aux progrès de l'Histoire et de l'Archéologie. >

Nous ne pouvons résister au plaisir de citer quelques passages du discours de M. Chabouillet, secrétaire de la section d'Archéologie, et qui s'était chargé d'exposer les titres des Sociétés récompensées.

.....
..

Nous ne faisons pas l'histoire de la conquête scientifique de l'Algérie, nous ne devons nous occuper que des travaux de la compagnie à laquelle la section d'Archéologie décerne aujourd'hui une de ses médailles. Le sujet est tellement considérable que je l'effleurerai à peine. Dans l'espace de vingt-deux années, la Société archéologique de la province de Constantine a publié seize volumes, dans lesquels, indépendamment de nombreuses descriptions de monuments, illustrées par de bonnes reproductions, figure une armée de textes épigraphiques. Rien n'est plus éloquent que les chiffres, dit-on. En parcourant ces seize volumes, j'y ai compté, le croirait-on, plus de 2,500 inscriptions, c'est-à-dire un incomparable trésor historique.

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M. Chabouillet cite et discute ensuite quelques-uns des travaux les plus importants de notre Recueil, et il termine ainsi :

.....

Je dois encore rappeler que la Société de Constantine est loin de négliger les inscriptions écrites dans les langues libyque, berbère, phénicienne, arabe, etc. Plusieurs de ses membres, M. Judas, M. Cherbonneau, celui-là même à qui l'on doit des inscriptions latines par centaines, M. Féraud, M. Pont, M. Vayssettes, ont enrichi ce Recueil de savants travaux sur l'Archéologie et la Philologie orientales. Mais un rapport adressé, il y a

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